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138. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118

Pendant que le Capitan va raccontando la sua bellezza, forza e valore , raconte sa beauté, sa force et sa valeur, l’Affamato crie sans cesse famine et, en sortant de table, jure qu’il meurt de faim.

139. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370

Prenons les hommes tels qu’ils sont, en bloc, avec leurs qualités et leurs défauts, comme manifestations d’une même puissance, et ne demandons pas la ruse au lion, la force au renard, ni la grâce au paysan du Danube.

140. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102

Neuf jours avant, il sentit une diminution considérable dans ses forces : son extinction fut cependant plus lente qu’il ne l’avoit prévu ; ce qui lui fit dire : Je ne croyois pas faire tant de façons pour mourir.

141. (1801) Moliérana « Vie de Molière »

Il suivit Louis XIII : dans Paris, sa passion pour la comédie qui l’avait déterminé à faire ses études, se réveilla avec force.

142. (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76

La société a ses traditions, ses lois, ou mieux encore son instinct qui la protège contre toute force qui tendrait à la modifier en bien.

143. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

Allons, il faut s’armer d’une force nouvelle. […] Le Chevalier la prend par la main, chante & la fait danser par force.

144. (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67

Je passe à un article qui m’intéresse davantage, c’est mon style, que l’on attaque d’une grande force. […] « Je rencontre encore, dit l’Auteur de la Critique, une contradiction dans la Vie de Molière, l’Auteur lui fait dire en Languedoc qu’il est passable Auteur : il lui fait souhaiter de venir à Paris, parce qu’il se sentait assez de forces pour soutenir un Théâtre Comique : et lorsqu’il y est, il se défie de lui mal à propos, puisque c’est après avoir plu au Roi. » Mon Censeur prend avantage de tout, il ne néglige rien pour m’attaquer : Je ne le trouve pourtant pas plus fort en cette occasion que dans les autres ; car sûrement il n’y a point de contradiction dans les paroles et dans les situations de Molière.

145. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38

Le précis seul de ces scenes suffit pour en faire connoître la beauté, la force, la variété du comique.

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