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124. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

« Molière, dit-il, n’était pas seulement bon acteur et excellent auteur, il avait toujours soin de cultiver la philosophie.

125. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462

Le fond de la piece n’est pas merveilleux, bien s’en faut ; mais il y a dans la piece des scenes excellentes : une partie de celle que je vais citer le prouvera, & fera sentir la bonté de l’expédient imaginé par la Montagne pour faire son aparté.

126. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447

Excellente scene !

127. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396

  La situation d’un avare qui craint de perdre deux écus, ou de quitter un moment son trésor, n’est-elle pas excellente à saisir ? […]   Cette scene, dont je ne donne qu’une simple esquisse, est plus ou moins vive, selon le talent de l’acteur qui la joue ; mais le fond est excellent.

128. (1910) Rousseau contre Molière

A mon avis, ils sont excellents. […] » En soi, le Philinte de Fabre est excellent. […] Si la plaisanterie est excellente, en est-elle moins punissable ? […] Le rôle de Sganarelle eût été excellent pour cela. […] Esope, s’il a existé, devait être un excellent homme.

129. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384

Je présente aux jeunes Auteurs le plus excellent modele qui ait existé, Moliere.

130. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302

Turcaret se pique du fol orgueil d’avoir pour maîtresse une femme de condition qui le joue, le hait, le méprise, le pille, & le trompe pour un chevalier ; lorsqu’il envoie un billet au porteur, excellent, & de fort mauvais vers à sa maîtresse ; lorsqu’il veut faire jetter sa maison trente fois à bas pour la faire construire de façon qu’il n’y manque pas un Iota, & qu’il ne soit pas sifflé de ses confreres ; lorsqu’il prétend être connoisseur en musique parcequ’il est abonné à l’Opéra ; lorsqu’il admet à sa table un Poëte qui ne dit rien, mais qui mange & pense beaucoup ; lorsqu’il vend des emplois ; lorsqu’il en donne aux rivaux qui l’embarrassent ; lorsqu’à la priere de sa maîtresse il fait un commis de ce laquais naïf qui prie la dame de se servir toujours du même rouge, afin de plaire à son protecteur, & ne pas le mettre dans le cas d’être révoqué ; lorsqu’il refuse de payer à sa femme une modique pension & qu’il se ruine pour une fripponne à laquelle il donne pour dix mille francs de porcelaines, un carrosse, une maison de campagne, &c.

131. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316

Théophraste & Dortidius viennent de me communiquer un projet excellent qui achevera de lui tourner la tête, & pour lequel tu nous seras nécessaire.

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