Les hasards qui semblent le faire naître dans plus d’une pièce de Molière n’ont guère plus d’importance que les dénouements qui le couronnent : ce sont des nécessités de la comédie, qui ne peut commencer ni finir sans prétexte.
Le dénouement romanesque a au moins le mérite d’être court et clair, mérite qui manque par exemple à celui de l’Avare. […] Le dénouement est vicieux, comme n’appartenant point au sujet. C’est un dénouement applicable à tous les mariages de convenance. […] On marche vers le dénouement, marche vers le bonheur désiré par les principaux personnages.
Ces deux années amenèrent enfin le dénouement des difficultés qui compliquaient la situation de madame de Maintenon, de madame de Montespan et des maîtresses.
Il fit parler à M. de Montausier par quelques personnes... » Mais coupons court à ces détails, qui prêtent à Molière un rôle inconciliable avec la noblesse de son caractère, et arrivons au dénouement Montausier vit la pièce; sa colère se changea en reconnaissance; il trouva dans le Misanthrope « le caractère du plus parfaitement honnête homme qui pût être ; » il fut même d’avis que Molière lui avait fait trop d’honneur, et ils se séparèrent les meilleurs amis du monde3 L’authenticité de cette anecdote, plus piquante que vraisemblable, est contestée de la manière la plus formelle par M.
Depuis Regnard, un nombre infini d’auteurs ont travaillé sur ce modèle, et le dénouement surtout est devenu un expédient banal, une espèce de propriété commune.
En revanche, je crois le dénouement de la Fille crue Garçon plus piquant & mieux amené que celui du Dépit amoureux.
Patience, reprit la Marquise, nous n’en sommes pas encore au dénouement.
Son dénouement pourroit bien avoir donné lieu à celui du Dissipateur, du moins se ressemblent-ils beaucoup.