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5. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144

Il parait constant que Molière a mis le portrait de sa femme dans le Bourgeois gentilhomme, act. […] Le Bourgeois gentilhomme, act. […] III -, le Bourgeois gentilhomme, act. […] II : le Bourgeois gentilhomme, act. […] VII ; le Bourgeois gentilhomme, act.

6. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

(Bourgeois gentilhomme). […] Vous en êtes bouffi, comme tes trois quarts des bourgeois. […] Elle devait être de bonne famille bourgeoise, mais pauvre. […] Elle est peuple, avec de l’esprit et de l’élégance bourgeoise. […] C’est la bourgeoise parisienne du quartier du Marais.

7. (1696) Molière (Les Hommes illustres) « JEAN-BAPTISTE POQUELIN. DE MOLIERE. » pp. 79-80

Son Père bon Bourgeois de Paris et Tapissier du Roi, fâché du parti que son Fils avait pris, le fit solliciter par tout ce qu’il avait d’Amis de quitter cette pensée, promettant s’il voulait revenir chez lui, de lui acheter une Charge telle qu’il la souhaiterait ; pourvu qu’elle n’excédât pas ses forces. […] Molière avait remarqué que les Français avoient deux défauts bien considérables ; l’un, que presque tous les jeunes Gens avoient du dégoût pour la Profession de leurs Pères, et que ceux qui n’étaient que Bourgeois voulaient vivre en Gentilshommes et ne rien faire ; ce qui ne manque point de les ruiner en peu de temps ; et l’autre, que les femmes avaient une violente inclination à devenir, ou du moins à paraître Savantes, ce qui ne s’accorde point avec l’esprit du ménage, si nécessaire pour conserver le bien dans les familles. […] Il composa deux Pièces contre le premier de ces désordres, dont l’une est intitulée : Le Bourgeois Gentilhomme, et l’autre : Le Marquis de Pourceaugnac.

8. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165

Le Bourgeois gentilhomme, act. […] Le Bourgeois gentilhomme, act. […] Le Tartuffe, le Bourgeois gentilhomme, les Femmes savantes, le Malade imaginaire. […] Elmire dans le Tartuffe ; Mme Jourdain dans le Bourgeois gentilhomme. […] Le Bourgeois gentilhomme, act.

9. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64

Les Précieuses ridicules, les Fâcheux, la Critique de l’École des Femmes, l’Impromptu de Versailles, le Misanthrope, le Bourgeois gentilhomme. […] Le Bourgeois gentilhomme, act. […] Le Bourgeois gentilhomme, act. […] II ; le Bourgeois gentilhomme, act. […] Tous les marquis, le Bourgeois gentilhomme, etc.

10. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

Il nous a donné Le Bourgeois gentilhomme ! […] Sganarelle, c’est le bourgeois ridicule, c’est le bourgeois enrichi. […] Nous ne sommes que des bourgeois, restons des bourgeois, et surtout ne donnons pas la patte, mal à propos. […] C’était, en un mot, tout à fait autre chose que ce que nous sommes, nous autres bourgeois renforcés, bourgeois constitutionnels. […] Orgon trop d’éléments bourgeois pour mademoiselle Mars !

11. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

Toute son étude est de faire aller sa maison et de marier sa fille ; et elle la mariera, car il s’est rencontré un homme assez sage pour distinguer les qualités de sens et de cœur que recouvre cette bourgeoise enveloppe. […] Elle est noble ; car cette pièce n’est pas une comédie bourgeoise ; les marquis qu’on y voit figurer sont des familiers de Versailles qui, venus à la ville, se réunissent chez une femme de leur condition. […] Jourdain, le bourgeois gentilhomme, parce que les travers de ce bourgeois sont inoffensifs et que madame Jourdain conserve dans son intérieur son rôle et son importance. […] Son père est Chrysale, un bon bourgeois, à qui les travers de sa femme et de sa sœur ont fait prendre en haine les lettres comme la science. […] Pourquoi, née dans une condition bourgeoise, n’en remplirait-elle pas les devoirs ?

12. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [37, p. 67-68] »

1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p. 213 Un bon bourgeois de Paris, vivant bien noblement, s’imagina que Molière l’avait pris pour l’original de son Cocu imaginaire. […] Le bourgeois, quoique peu satisfait de la réponse de son ami, ne laissa pas d’y faire quelques réflexions, et ne retourna plus au Cocu imaginaire.

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