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111. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

L’étude de son propre cœur troublé par la passion lui avait donné des lumières pour mieux voir les secrets ressorts des actions humaines.

112. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

On insiste sévèrement sur ce point, parce que l’étude que l’on fait ici ne peut avoir d’intérêt qu’à la condition de blâmer le mal avec autant d’énergie qu’on en met à louer le bien.

113. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434

Chapitre VI C’est ainsi que nous cherchons à relier, l’une à l’autre, ces diverses études de la comédie aux différentes époques de notre histoire, et nous espérons fort, pour peu que le lecteur nous soit en aide, arriver à quelque utile résultat. […] Dans cette étude des mœurs d’un grand peuple, l’antiquité n’est guère représentée que par Homère et Théophraste, Aristophane, Plaute et Térence, et chez nous Molière et La Bruyère, et puis rien, sinon — tout en bas — des barbouilleurs : Rétif de La Bretonne et Mercier du Tableau de Paris !

114. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

La différence des professions indique le contraste, dont le développement fournit la matière de cette étude. […] Il acheva ses études et comme écolier, et comme théologien, et comme religieux, et comme maître. […] II fait son affaire à lui, son devoir, qui est de s’appliquer à l’étude pour enseigner plus dignement, et avec plus de fruits la vérité de l’Évangile. […] Nous commencerons cette étude parle Tartuffe, qui résume et domine toute l’œuvre de Molière et qui forme le rayon le plus éclatant de son auréole. […] L’étude du Misanthrope achèvera de nous démontrer combien était incomplète en Molière la notion de l’homme de bien, elle révélera la cause de celte insuffisance et nous servira de conclusion.

115. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

Je n’ajoute pas, en publiant aujourd’hui ces notes, un chef-d’œuvre inconnu à notre littérature ; j’apporte de nouveaux matériaux à l’étude de la pensée dans notre pays. […] I Molière était l’objet constant de l’étude de Stendhal ; l’exemplaire du Molière appartenant à M. de Spoelberch a été pour Stendhal un prétexte pour réunir grand nombre de ses réflexions faites en réalité d’après l’édition stéréotype de Didot. […] Mais c’est une étude et pour me mettre en train après la campagne de Moscou et quinze mois d’interruption.) […] Je n’ai pas besoin de rappeler que Shakespeare fut l’objet d’études spéciales de la part de Stendhal et que le nom de l’illustre poète se retrouve sans cesse sous la plume de notre auteur qui faisait toutefois des erreurs : ainsi p. 107 de notre volume il parle de Lothario (une faute d’impression en fait Lotharic dans le Merchant of Venice qui ne s’y trouve pas, mais bien Antonio.

116. (1769) Éloge de Molière pp. 1-35

La force de cette éducation philosophique influa sur sa vie entière ; et lorsque dans la suite il fut entraîné vers le Théâtre, par un penchant auquel il sacrifia même la protection immédiate d’un grand Prince, il mêla les études d’un Sage à la vie tumultueuse d’un Acteur, et sa passion pour jouer la Comédie tourna encore au profit de son talent pour l’écrire.

117. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240

Si l’on n’appuie pas ces conclusions sur des textes, c’est qu’elles ressortent nettement de toute cette étude, si bien qu’il faudrait, pour en montrer la justesse, répéter une bonne partie des chapitres précédents.

118. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264

Le pédant se plaint à son écolier qu’il abandonne l’étude et ne profite plus.

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