Don Félix entre pour lui demander en grace de n’avoir plus pour Léonor sa fille des soins qui pourroient lui faire du tort, étant sur le point de se marier. […] Vous auriez tort, repartit cette belle ; C’est un méchant : il me tint l’autre fois Propos d’amour, dont je fus si surprise, Que je pensai tomber tout de mon haut ; Car qui croiroit une telle entreprise ?
Ni les uns, ni les autres n’avaient tort. […] Sans doute, l’avocat de cet isolement sauveur n’est pas tout à fait tranquille avec lui-même ; il voudrait bien pouvoir démontrer que cette fuite craintive du siècle ne fait nul tort à l’amour du prochain, qu’au contraire, par une miraculeuse contradiction, le véritable solitaire s’ouvre à toute sorte de compassion sur ses semblables.
Le tort de cette comédie est peut-être de s’élever si fort qu’elle arrive à l’influence directe et palpable des gouvernements. […] Les préjugés, ami, sont une loi du vulgaire, est une chose fort vraie, mais dans un autre sens que celui de Voltaire ; et le plus grand tort des philosophes. […] On a tort de supprimer ces quatre vers qui relèvent un peu Orgon, et nous rappellent l’homme qui s’est distingué dans les guerres de la Fronde. […] On a encore grand tort de supprimer ces dix vers qui éloignent le sentiment de l’odieux. […] Philaminte trouve un vrai plaisir à cela, elle a tort comme littérateur, mais elle a raison comme suivant ce premier penchant de l’homme : chercher le bonheur.
jusqu’à ce qu’il arrive à cette conclusion : [...] que c’est à tort que sages on nous nomme, Et que dans tous les cœurs il est toujours de l’homme. […] Les mousquetaires, les gardes du corps, les gendarmes, les chevaux-légers s’imaginèrent, comme faisant partie de la maison du roi, qu’ils pouvaient entrer à la comédie sans payer, en sorte que tous les soirs ils venaient emplir le parterre de leurs colossales et tumultueuses personnes, ce qui était aux comédiens d’un tort considérable. […] Molière,dit Chapelle, puisque vous voilà, jugez si j’ai tort. […] Vous avez tort, dit-il à Godemer, de perdre le respect envers votre maître, qui peut vous faire aller comme il voudra : il ne faut pas abuser de sa bonté.
Les Auteurs Chinois ont, je crois, plus de tort que les romanciers auxquels je les ai comparés.
Et, dis-moi, rends-tu ce beau service-là à ceux qui ont tort, à ceux qui ont raison, indifféremment ?
Et maître Cornichon, défenseur de la dame, redouble les coups à tort et à travers et accable le malheureux mari.