/ 289
275. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318

Quand un auteur n’a pas déclaré lui-même son ouvrage allégorique, on n’est pas autorisé à le supposer tel, par quelques rapprochements arbitraires ; et même quand if donne son ouvrage pour allégorique, il a seul le droit d’en donner la clef.

276. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445

C’est un transport si grand, qu’il n’en est point de même ; Et vous pouvez juger de sa puissance extrême, Puisque, seule, à cette heure, elle est venue ici Me découvrir, à moi, son amoureux souci, Me dire absolument qu’elle perdra la vie, Si son ame n’obtient l’effet de son envie ; Que depuis plus d’un an d’assez vives ardeurs Dans un secret commerce entretenoient leurs cœurs, Et que même ils s’étoient, leur flamme étant nouvelle, Donné de s’épouser une foi mutuelle.

277. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250

La bassette n’était pas la seule cause du délaissement de madame de La Sablière.

278. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90

Ce breuvage Est le seul qui vous peut donner quelque courage.

279. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217

C’est un homme que je n’épouse point par amour, & sa seule richesse me fait résoudre à l’accepter.

280. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354

Voici ses expressions : « Le roi étant entré chez son fils, la trouva seule (madame Scarron) avec le duc, qui avait la fièvre et qu’elle soutenait d’une main, mademoiselle de Nantes qu’elle berçait de l’autre, et le comte de Vexin qui dormait sur ses genoux.

281. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489

Il est inutile de dire que les méprises de détail, c’est-à-dire celles qui ne doivent rien amener, & qui ne durent qu’un instant, sont jugées moins à la rigueur, & que le spectateur en rit, pourvu que l’ombre seule de la vraisemblance les amene.

/ 289