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5. (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421

Après lui avoir donné les instructions les plus ridicules sur le devoir des femmes mariées, il la quitte pour quelque temps. […] Il fut conservé à la réunion de 1680, quitta le théâtre le 18 avril 1689, avec la pension de 1 000 francs, et mourut vers la fin de 1695. […] Il quitta le théâtre à la clôture de 1670, et fut le premier à qui l’on accorda la pension de 1 000 francs, qu’il conserva jusqu’à sa mort, arrivée le 29 septembre 1678. […] Mademoiselle de Brie, qui vint à Paris avec Molière en 1658, fut conservée à. la réunion de 1680, et quitta le théâtre à la clôture de 1685, avec la pension de 1 000 francs. […] D’abord page du duc de Guise, il le quitta bientôt pour courir la province avec une troupe de comédiens, et vers 1635 il entra dans celle de l’hôtel de Bourgogne.

6. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432

  Lorsque je quittai ce pays   Pour faire un tour en Angleterre,   Chez la Marquise d’Enneterre Tu servois. […] Un beau jour je quittai Madame & ses gredins. […] Veuve, graces au Ciel, de son troisieme époux, Elle vint demeurer au logis de son frere : Notre orpheline alors quitta son monastere. […] vous nous quittez, Sophie !

7. (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-

En 1680, elle quitta le théâtre avec une pension, dont elle jouit jusqu’à sa mort, arrivée le 2 avril 1713. […] Beauval quitta la comédie en 1704, et mourut le 29 décembre 1709. […] Du Croisy quitta la Comédie le 18 avril 1689, et mourut en 1695 âgé de soixante-cinq ou soixante-six ans. […] La jeune Bourguignon accepta ses offres, et quitta Filandre, sans lui donner la moindre marque de reconnaissance. […] Un moment de petit dépit l’engagea à quitter le théâtre.

8. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260

On voit que Sganarelle ne quitte pas la scene, & que le théâtre reste toujours occupé. […] Il y a des occasions, me dira-t-on, où l’acteur, ou bien les acteurs qui sont sur la scene, & qui vont la quitter, ne doivent pas voir ceux qui les remplacent. Comment lier la scene de ceux qui quittent le théâtre avec ceux qui y paroissent ?

9. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93

Que même votre amour Montra de mon accueil une joie incroyable ; Et que, m’ayant quittée à la pointe du jour,  Je ne vois pas qu’à ce soudain retour,   Ma surprise soit si coupable. […] Votre frere déja peut hautement répondre Que jusqu’à ce matin je ne l’ai point quitté. […] A ce mot de province, les femmes me toiserent, pour examiner, à mon air, si je l’avois quittée depuis long-temps ; on me pria de raconter mon histoire, afin de voir, disoit-on, si elle prêtoit réellement au comique, & je le fis à-peu-près en ces termes : « Une demoiselle, jeune, riche, belle, & coquette sur-tout, comme on le verra dans la suite, écoutoit assez favorablement les vœux de plusieurs soupirants ; Damon, Clitandre & Sainval l’aimoient publiquement. […] Je n’en vois pas de plus grand, si vous en exceptez celui de nos acteurs, qui se persuadent, & veulent faire croire, que la province gâte tous les comédiens, & qu’il n’y en a plus un seul de passable depuis qu’ils l’ont quittée.

10. (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209

Le sujet, si intéressant qu’il soit, n’était pourtant point absolument neuf, attendu qu’il existe un gros livre d’une érudition énorme, tout rempli, tout farci d’anecdotes et de dates, intitulé : Molière musicien, auquel les habiles du métier ne se font point scrupule de recourir, quittes à le décrier après l’avoir dévalisé. […] Perrin avait quitté l’Opéra-Comique, et c’était Nestor Roqueplan qui tenait la place.

11. (1696) Molière (Les Hommes illustres) « JEAN-BAPTISTE POQUELIN. DE MOLIERE. » pp. 79-80

Son Père bon Bourgeois de Paris et Tapissier du Roi, fâché du parti que son Fils avait pris, le fit solliciter par tout ce qu’il avait d’Amis de quitter cette pensée, promettant s’il voulait revenir chez lui, de lui acheter une Charge telle qu’il la souhaiterait ; pourvu qu’elle n’excédât pas ses forces. […] Ce bon Père lui envoya ensuite le Maître chez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses Études, espérant que par l’autorité que ce Maître avait eue sur lui pendant ces temps-là, il pourrait le ramener à son devoir ; mais bien loin que le Maître lui persuadât de quitter la Profession de Comédien, le jeune Molière lui persuada d’embrasser la même Profession, et d’être le Docteur de leur Comédie, lui ayant représente que le peu de Latin qu’il savait le rendrait capable d’en bien faire le Personnage, et que la vie qu’ils mèneraient, serait bien plus agréable que celle d’un Homme qui tient des Pensionnaires.

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