La suite prouverait qu’alors les yeux de cette femme respectable furent dessillés sur les relations du roi avec madame de Montespan ; qu’elle fut épouvantée de l’idée d’avoir opposé de la résistance à un mari qu’elle croyait follement jaloux d’une femme irréprochable : il est du moins certain, par le témoignage de mademoiselle de Montpensier, par celui du duc de Saint-Simon, qu’à la suite de l’apparition qui eut lieu dans le passage de l’appartement de la reine, madame de Montausier rentra chez elle malade, ne sortit plus de sa chambre que pour quitter la cour et rentrer dans sa propre maison, à Paris, où elle languit, ne recevant qu’un petit nombre d’amis particuliers.
Célimène en sera quitte pour un échec d’amour propre, pourquoi Molière ne la frappe-t-il pas au cœur ?
Le cardinal était malade ; il se mourait, désespéré de quitter la vie, et d’abandonner ces trésors de la peinture et de tous les beaux-arts, dont un prince illustre a dressé naguère le catalogue incroyable. […] Il avait des amis qui ne le quittaient guère.
tu as l’esprit malin, nous le savons, mais prends garde, nous avons tout quitté pour t’entendre, et même une grande quantité de beaux oignons qui étaient l’espoir de notre dîner. […] Il eût trouvé, dans les œuvres mêmes de Bossuet, parmi les lettres de ce père de l’Église, plusieurs passages qui lui eussent montré les combats, les obstacles, l’hésitation de madame de La Vallière avant de quitter, à tout jamais, ce monde où elle brillait de toutes les grandeurs de la beauté, de la jeunesse et de la passion. […] On ne quittait pas Louis XIV, quand on s’appelait madame la duchesse de Vaujours, et qu’on était trois fois mère, avec aussi peu de sans-gêne que si l’on eût été une comédienne à la mode, en puissance de quelque duc et pair ! […] Lauzun donne son congé à madame de Montespan, de la part du roi : — « Notre gracieux roi vous permet de quitter Versailles. » Bragelone déclame contre les vanités de la vie et de l’amour : — « Quel grand philosophe que la vie ! […] À l’acte suivant, nous retombons dans cette fantaisie un peu solennelle qui désormais ne nous quittera plus, en dépit même des efforts du poète pour arriver à la gaieté.
Eraste dit à M. de Pourceaugnac qu’il est obligé de le quitter, qu’il le laisse entre les mains d’un homme qui le traitera du mieux qu’il lui sera possible.
Argante lui fait mille caresses, en croyant embrasser sa fille : il est enchanté qu’elle ait quitté Bourdeaux ; &, pour la fixer à Paris, il veut absolument l’y marier : de sorte que Damis est obligé de lui révéler le stratagême de son valet.
Arlequin désespéré quitte la scene.