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140. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548

Les portraits en prose tirent moins à conséquence.

141. (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -

C’est à cette classe d’essais qu’appartiennent Eugène ou la Rencontre, de Jodelle ; la Reconnue, de Belleau ; les Corrivaux, de La Taille ; la Trésorière et les Esbahis, de Grevin ; le Brave et l’Eunuque, de Baïf ; enfin les neuf comédies en prose de La Rivey, supérieures à toutes les autres par la vérité des caractères, la vivacité de l’action et le sel du dialogue. […] J’aime bien mieux sa prose que ses vers. » Ce sont là des reproches un peu durs, et qui ne sont pas exempts d’exagération. […] Ayant senti avec raison que les détails philosophiques ne se prêteraient pas, sans de trop grands sacrifices, à recevoir les formes de notre poésie, il s’était, dit-on, contenté de les exprimer en une prose fidèle, et il avait réservé le langage des vers pour les seules descriptions poétiques.On a raconté qu’un valet ayant déchiré par mégarde quelques feuillets de cette traduction, il jeta au feu, de dépit, tout ce qu’il en avait fait.Il importe peu de savoir au juste comment fut perdu un ouvrage peu regrettable sans doute.

142.

Cinq ans plus tard, le Théâtre-Français célébrait l’anniversaire du Maître par un autre à-propos : La Valise de Molière, comédie en un acte, en prose, dans laquelle Éd.  […] Car on rimait volontiers les pièces de Molière, même celles que le poète avait écrites en prose. […] L’Avare, qu’il suffisait de traduire en prose, a été joué pendant plusieurs années d’une manière fort remarquable par un comique de premier ordre, M. 

143. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488

Les Fourberies de Scapin, comédie entrois actes, en prose, comparée, pour le fond, les détails & le dialogue, avec la Sœur, comédie de Rotrou ; le Phormion de Térence ; le Pédant joué de Cyrano ; des Scenes italiennes ; une Scene du théâtre danois ; deux Farces de Tabarin ; un Conte de Straparole.

144. (1884) Tartuffe pp. 2-78

qui doivent se dire comme on dirait en mauvaise prose : « Ah mon Dieu !

145. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Il n’est pas un feuillet à sauter dans ces petites pièces composées pour des fêtes ; dans L’Avare, son chef-d’œuvre en prose ; dans Amphitryon, qui est écrit comme L’École des Maris ; dans ces impromptus d’un homme qui, la même année, malgré ses chagrins domestiques et les soucis de sa direction, pouvait faire, avec le Tartufe, le Sicilien ; avec le Misanthrope, le Médecin malgré lui ; la grande pièce avec la petite pièce.

146. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250

On oppose la poésie à la prose, à la science, à la religion, à l’industrie, à la musique, à la peinture, à la sculpture, à l’architecture, que sais-je ?

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