Car, pour s’élever jusqu’à cet humour dont je vous parle, le comique… comprenez bien ce raisonnement, je vous prie, le comique venant à passer de la région objective où l’ombre et la lumière se découpent nettement sous les rayons du soleil plastique, dans la région subjective… écoutez bien ceci, je vous conjure ; dans la région subjective où tout vacille et danse aux romantiques clartés de la lune ; le comique, dis-je, doit, pour s’élever jusqu’à l’humour, produire au lieu du sublime ou de la manifestation de l’infini… soyez attentif, s’il vous plaît, une manifestation du fini dans l’infini, c’est-à-dire une infinité de contraste, en un mot une négation de l’infini173.
J’y renvoie le lecteur, & je le prie de se ressouvenir des raisons qu’allegue notre législateur41.
Je prie le lecteur de m’aider à deviner ce qu’il a voulu dire.
« Après avoir quelque temps joué de vieilles pièces, et s’être en quelque façon établi à Paris, il joua son Étourdi et son Dépit amoureux, qui réussirent autant par la préoccupation que l’on commençait à avoir pour lui que par les applaudissements qu’il reçut de ceux qu’il avait prié de les venir voir. […] Le sieur de la Force, dit Gilles le Niais a, voyant que je ne savais où donner de la tête, et que je lui pouvais être utile dans sa troupe, me pria d’y entrer ; j’y résistai d’abord, ne voulant point passer pour un farceur ; mais il me représenta que toutes les personnes les plus illustres de Paris allaient tous les jours voir la farce au Petit-Bourbon ; et me persuada si bien que les siennes étaient aussi honnêtes que plusieurs de celles que Mascarillea a faites, que je me laissai vaincre, et que j’entrai dans sa troupe.
Je soumets humblement les réflexions qui précèdent à nos savants amis les moliéristes, en leur demandant leur avis, et je les prie de les rectifier ou de les confirmer à l’aide des gravures contenues dans les diverses éditions de Molière, éditions que je ne puis consulter en ce moment. […] Répugnant à toute idée d’arrangement, il n’a songé qu’à être interprète consciencieux de l’esprit de Molière : « La scène », dit-il dans son avis au régisseur, « est à Paris, et je prie les acteurs d’en tenir compte. […] Mais ce ne fut pas celle de l’architecte italien qui fut exécutée ; car, quelques jours plus tard, dégoûté de celui-ci comme il l’avait été de Le Vaux, Colbert pria le roi d’autoriser le Bernin de regagner l’Italie, et adopta le plan de Claude Perrault. […] Je vous en fais juge, monsieur, et vous prie d’agréer l’assurance de mes meilleurs sentiments. […] Les deux sœurs ont, depuis, joué le même opéra chez nous ; mais je vous prie de croire qu’Arsace était soigneusement rasé.
Mais dites-moi seulement, je vous prie, quel commerce Monsieur le Chevalier...
Il prie Nicolo de le vendre, & de lui apporter l’argent dans un cabaret qu’il lui indique.