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135. (1769) Idées sur Molière pp. 57-67

qu’est-ce qu’on mettra au-dessus du bon homme Chrysale qui ne permet à Plutarque d’être chez lui que pour garder ses rabats?

136. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329

Je ne veux pourtant pas en sortir encore ; trop de charmes m’y attachent, et à ma faiblesse, je sens que je ferais des efforts inutiles, on vous a dit vrai, si l’on vous a peint mon directeur comme un homme rigide ; mais vous ne devriez pas vous le figurer ridicule, Il ne défend point les plaisirs innocents ; mais il ne permet pas de traiter d’innocents ceux qui sont criminels.

137. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412

L’événement rend tout permis. » Le 28, elle écrit : « Jo est chez Madame tout comme elle était.

138. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Il eut des démêlés avec le parti dévot et avec la magistrature pour Don Juan, dont on lui fit retrancher la fameuse scène du pauvre, et pour Tartuffe, dont le Premier Président Lamoignon retarda longtemps la première représentation, que le Roi finit par permettre. […] Avec Voltaire je regrette que ce soit cette pièce que Boileau ait citée comme type du bas comique où il n’aurait pas voulu que Molière se permît de descendre. […] Il rencontre la nature féminine primitive, toute d’instinct, allant droit à la jeunesse et à l’amour, au genre d’amour que peut donner la jeunesse, et en même temps ingénument fourbe ; et d’autre part il rencontre la civilisation qui ne lui permet pas de dompter la femme comme dans les temps primitifs, qui ne lui permet pas de la parquer, de l’enchaîner et de la faire garder par des eunuques. […] Ajoutez encore ce que j’appellerai, si on me le permet, la détente du flegme : Philinte s’est fait un caractère de « flegme philosophe » qui ne s’étonne jamais de rien. […] Elle se décide, en prenant tout son courage, à supplier son père, et c’est dans un langage douloureux, pathétique, tragique et qui rappelle les supplications d’Iphigénie ; et si elle abandonne l’idée du suicide, elle demande comme une grâce et comme une faveur qu’on lui permette d’entrer au couvent.

139. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Louis XIV se résigna à Mme de Maintenon, qui l’aida à faire la seule chose qui lui fût encore permise : son salut, et M.  […] Puisque j’ai cité cette tirade, me permettra-t-on une petite observation de détail ? […] Nous avons de beaucoup reculé l’âge où il est permis à un homme d’aimer. […] Non, il ne vous est pas permis d’être noble et digne aux premiers actes, d’être pathétique au dernier. […] Enfin, pour le moment il n’y en a point ; c’est ce qui a permis à M. 

140. (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12

mais il me semble bien que, ayant « cité » comme par hasard deux mots au lieu d’un, il doit m’être permis de me reposer, en ajoutant d’ailleurs : et cætera !

141. (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13

Est-il permis De vanter maintenant votre gaîté grossière ?

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