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173. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Et vous voyez un homme enchanté ; il à réussi ; elle est simple au delà de ce qu’on peut imaginer, elle en dit à le faire pâmer de joie ; jusque là que, l’autre jour, elle est venue lui demander Avec une innocence à nulle autre pareille Si les enfants qu’on fait se faisaient par l’oreille ! […] Votre simplicité qui semble sans pareille, Demande si l’on fait les enfants par l’oreille, Et vous savez donner des rendez-vous la nuit !

174. (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464

Dans l’examen de cette dernière pièce, je ferai remarquer la ressemblance des deux-ouvrages, dont le but dramatique est absolument le même, quoique avec des moyens différents, et dont le but moral, sans être tout à fait pareil, a du moins beaucoup d’analogie.

175. (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436

Molière, à qui, dans une circonstance pareille, le temps avait manqué pour versifier entièrement sa comédie de La Princesse d’Élide, et qui l’avait terminée en prose, fut encore plus pressé cette fois, puisqu’il ne put donner que deux actes d’une pièce qui vraisemblablement devait en avoir cinq.

176. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322

Oui, oui, permis à moi ; mais mon ame offensée Vous préviendra peut-être en un pareil dessein, Et je sais où porter & mes vœux & ma main.

177. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

Fut-il jamais pareille extravagance !

178. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

IV On pourrait faire cette objection, contre le remaniement que nous entrevoyons, que si pareille chose avait existé, on en eût sans doute déjà trouvé la trace ; mais la comédie de Pourceaugnac peut avoir été, comme tant d’autres pièces de Molière, corrigée avant d’être publiée.

179. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

En vérité, ne vaut-il pas mieux, si Molière s’est trouvé mêlé à de semblables misères et de pareilles hontes, lui en épargner la mémoire ? […] Mais en revanche il serait injuste d’oublier que pareille incohérence se retrouve, — à un moindre degré sans doute — mais enfin de retrouver sous la plume des meilleurs écrivains du XVIIe siècle.

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