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284. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Dans cette première ardeur, il rompit sans ménagements avec Port-Royal, et, après La Thèbaïde et Alexandre, ses essais de jeunesse, il écrivit Andromaque et Les Plaideurs, c’est-à-dire les deux pièces où son génie se déploya avec le plus d’abandon et se montra le plus franchement dramatique sans paraître se replier sur lui-même. […] De même le Tartufe ne paraît pas avoir beaucoup contribué aux succès de la religion.

285. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273

C’est Mélite elle-même qui va paroître.

286. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516

Il paroît d’abord très ridicule de dire que la catastrophe principale, que ce qui fait le dénouement, doit être placé à la fin de la piece ; cependant ce que nous venons de voir prouve combien il est essentiel de rappeller cette regle aux Auteurs.

287. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327

Il puisera dans le grand monde un goût fin, beaucoup de délicatesse, une façon aisée d’exprimer ses idées ; mais comme tous ceux qui le composent ont à-peu-près reçu la même éducation, que cette éducation leur apprend à paroître tout ce qu’ils ne sont pas, ils ne lui laisseront entrevoir que des nuances.

288. (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151

Il paraît que le comte de Modène contracta ces deux mariages par déférence pour son père, plutôt que par inclination.

289. (1901) Molière moraliste pp. 3-32

Ne paraissez point si savant, de grâce ; humanisez vos discours et parlez pour être entendu. […] Que tous ces jeunes fous me paraissent fâcheux !

290. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

Cependant, il paraît que l’idée de la fameuse leçon de prononciation est empruntée au discours physique de la parole, par le cartésien Cordemoy2.

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