Tenez, on vient à nous : oubliez vos querelles.
Son maître le trouble au point qu’il alloit oublier de lui remettre une lettre, il la lui donne.
La première scène du premier acte, où la vieille mère Pernelle, en grondant toute sa famille, expose si plaisamment et la pièce et le caractère de chacun ; la cinquième, où Orgon s’informe de la santé de Tartufe, et oublie sa femme et ses enfants, malgré les railleries de Dorine ; la sixième sur les faux dévots entre Orgon et Cléante, scène admirablement écrite ; la quatrième du deuxième acte, où les amants se brouillent par un malentendu, et se raccommodent par les soins de Dorine ; la deuxième du troisième acte, où Tartufe s’annonce ; la troisième, où il fait sa déclaration à Elmire ; la sixième, où Orgon lui demande pardon à genoux pour son fils qui l’a accusé ; la cinquième du quatrième acte, où Orgon est sous la table, scène si singulière, si belle et si hardie : voilà les principales beautés d’un ouvrage que l’Europe admire avec raison.
Alceste ne s’oublie pas ; Célimène a fait de l’esprit, elle a brillé devant tous après avoir donné des sièges à tous, il veut en punir tout le monde.
Polipo revient du siège de Nicosie, mais il a oublié Flavia.
Elle avertit des choses que vous auriez oubliées ou négligées.
aussi dit-il aux amants : Oublions le passé, ma fille en cette affaire... […] en oubliant Moliere, on oublie ses préceptes.