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102. (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405

Il suffit à occuper l’érudition britannique. […] Moreau et occupée par le sieur Jean Poquelin, maître tapissier, et un autre locataire, consistant en un corps d’hôtel, boutique et court, faisant le coin de la rue des Étuves. » Molière en 1637 avait déjà quinze ans. […] Loiseleur, mais c’est assurément le premier. » Jean Poquelin, marchand tapissier, occupait un rang honorable dans la bourgeoisie parisienne. […] Vitu, dans un opuscule sur Le Jeu de paume des Mestayers (1883), a établi que ce jeu de paume occupait l’emplacement que représentent aujourd’hui (1891) les numéros 10, 12-14 sur la rue Mazarine, les numéros 11 et 13 sur la rue de Seine.  […] Mais parce qu’avec quatre ou cinq pouces de hauteur il n’y aurait pas eu moyen de s’asseoir dessus, on y rangeait des formes67 qui n’occupaient qu’une partie, afin de pouvoir passer par derrière ; je laisse là les autres commodités qui s’y trouvent.

103. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217

Une juste colere m’occupe l’esprit.

104. (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)

Laujon avait daigné sourire à mes premiers essais, et je ne puis, sans une vive émotion, me trouver à la place qu’il occupait dans cette auguste assemblée.

105. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102

Tous deux ne s’occupèrent plus de leur art qu’en qualité d’écrivains.

106. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393

La famille de l’ami (la famille royale) alla au-devant de lui ; on donna du temps aux bienséances, mais beaucoup plus à la pure et simple amitié qui occupa tout le soir.

107. (1901) Molière moraliste pp. 3-32

On le trompe, on le dupe ; Tartuffe ment, il ne méprise les richesses que faute d’en posséder et parle trop de sa naissance pour un homme uniquement occupé du ciel : Qui d’une sainte vie embrasse l’innocence Ne doit pas tant prôner son nom et sa naissance… Mais elle ne s’attarde guère à ces considérations générales. […] Elle s’occupe des faits et des nécessités, puis des moyens d’action.

108. (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35

Pendant que Marie faisait ses oraisons et s’occupait dévotement à lire la prophétie d’Isaïe, plusieurs démons, envoyés par Lucifer, « issirent » de la gueule infernale, pour venir observer celle qui menaçait leur empire ; et d’un autre côté, l’ange Gabriel redescendit de son empyrée, pour admirer la jeune Vierge en prière, à laquelle les démons eux-mêmes rendirent hommage : « Elle est, dirent-ils, plus belle que Lucrèce, plus [p.17] que Sara dévote et sage ; c’est une Judith en courage, une Esther en humilité, et Rachel en honnêteté; en langage est aussi bénine que la Sibylle Tiburtine. » Après diverses autres scènes, qu’il serait trop long de rapporter, on assista aux « épousailles » de Marie et de Joseph : Suave et odorante rose (dit celui-ci) Je sais bien que je suis indigne D’épouser vierge tant bénigne. […] Gabriel, qui est fort occupé, descend de rechef pour promettre un fils à Zacharie, époux d’Elisabeth, et comme Zacharie n’a pas trop l’air d’y croire, il l’en punit en le rendant muet.

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