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91. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548

Moliere, non content d’avoir étouffé les monstres littéraires, a même osé attaquer jusques dans le champ de leur triomphe, c’est-à-dire jusques sur le théâtre, les ridicules des comédiens de son temps, leur ton faux & outré avec leur déclamation chantante.

92. (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129

Armand Bertin, qui, en nous permettant d’en faire usage pour établir le texte de cette édition, a rendu un véritable service aux admirateurs de Molière, c’est-à-dire au monde littéraire tout entier. […] Ceux qui auraient la curiosité de connaître en détail la vie de ce grand acteur peuvent consulter : 1° La Lettre à mylord… sur Baron, par Dallainval ; 2° Les Amusements littéraires de Cizeron-Rival, pages 48 et 49 ; 3° Les Lettres de J. […] (Grimarest, Réponse à la critique de la Vie de M. de Molière.).On trouve dans les Anecdotes littéraires qu’un abbé ayant cru faire sa cour au grand Condé en lui présentant une épitaphe de Molière : Ah ! […] Je sais que j’attaque ici une centaine de recueils d’anecdotes, et autant d’ouvrages de critique littéraire.

93. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

J’avoue toutefois que je suis moins touché de cet inconvénient ; je professe cette doctrine, commode à mon insuffisance, que le neuf, dans la critique littéraire, c’est le faux.

94. (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126

Plusieurs des sujets de Molière ont tout l’air d’être empruntés d’ailleurs, et je suis convaincu qu’il serait possible d’en découvrir la source, si l’on parcourait les antiquités littéraires de la farce1 ; d’autres sont si faciles à inventer, on en a tant usé et abusé, que tous les poètes comiques peuvent les considérer comme un bien en communauté.

95. (1739) Vie de Molière

Tous ceux qui sont au fait de l’histoire littéraire de ce temps-là, savent que Ménage y est joué sous le nom de Vadius, et que Trissotin est le fameux abbé Cottin, si connu par les satires de Despréaux.

96. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Espèce de petit Tartufe littéraire, dont l’espèce n’est pas rare d’ailleurs, il se sert du travers qu’il a soufflé à la mère pour arriver à la fille, et par la fille à la dot.

97. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

III Molière avait trouvé non seulement une maîtresse dans Madeleine Béjart, mais un camarade littéraire. […] Levallois constate, avec le sentiment littéraire et le sentiment de la passion, l’influence de Mlle Du Parc sur le génie de Corneille. « Il n’éprouva point pour elle un goût médiocre ni un attachement passager.

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