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104. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144

Tout cela surnage au-dessus de toutes les intrigues et de toutes les faiblesses ; tout cela est exprimé ou indiqué avec une mesure et une justesse qui donnent à l’ensemble de ces peintures d’amour un caractère général de moralité, et qui placent le théâtre de Molière à une distance infinie au-dessus de l’immense majorité des drames et des romans d’amour464.

105. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

Ni Clitandre, ni Henriette ne sont indiqués dans Les Précieuses ridicules ; mais ils le sont l’un et l’autre dans La Critique de l’École des femmes. […] Enfin, c’était un événement trop naturel, trop commun, que deux beaux esprits commençant un entretien par des louanges réciproques, et le finissant par des injures mutuelles, pour qu’il fallût absolument que la querelle entre Trissotin et Vadius eût été copiée d’après celle que Cotin et Ménage avaient eue ensemble ; et j’ajouterai que l’histoire littéraire, voulant indiquer le véritable type de la scène, semble hésiter entre quatre altercations toutes pareilles, dans l’une desquelles Molière lui-même figure comme acteur.

106. (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723

Il est vrai que Platon conseilloit à Denis la lecture des comédies de ce poëte, pour connoître les mœurs de la république d’Athenes ; mais c’étoit lui indiquer un bon délateur, un espion adroit, qu’il n’en estimoit pas davantage. […] Comme on n’a fait qu’indiquer cette division dans l’article

107. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

Enfin, Molière supposait les sentimens d’Armande, ou plutôt il lui indiquait, sous le couvert d’une allusion transparente, ceux qu’il désirait qu’elle eût lorsqu’il montrait Léonor excédée de tous « ces jeunes fous » qui « la raillent sottement sur l’amour d’un vieillard, » et déclarant qu’elle préfère de beaucoup cet amour à « tous les beaux transports de leurs jeunes cervelles. » Si une jeune fille peut parler ainsi d’un « vieillard »qui recherche sa main, à plus forte raison peut-elle consentir sans effroi à devenir la femme d’un homme jeune encore, dans la maturité de l’âge. […] A défaut d’autres preuves, son goût de la parure et ses recherches de fantaisie originale suffiraient pour l’indiquer.

108. (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790

Notez en passant la double source que Seneque nous indique de la pauvreté des langues, l’une est qu’on n’a point trouvé certains mots, l’autre est qu’on en laisse tomber plusieurs dans le non-usage.

109. (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47

Je viens de vous indiquer, mesdames et messieurs, une manière d’analyser et de comprendre L’École des femmes.

110. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240

Ce n’est ni un timide, ni un indifférent en ces matières, qui aurait touché des points délicats comme celui-ci, qu’indique F.

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