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80. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30

Elle compte, à partir de cette époque, beaucoup de noms illustres et d’œuvres remarquables.

81. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102

CHARLOT, Eglogue pastorale à onze personnages, sur les miseres de la France, & sur la très heureuse délivrance de très magnanime & très illustre Prince Monseigneur le Duc de Guise, imprimée en 1592.

82. (1801) Moliérana « Vie de Molière »

Comme dans cette vie de Molière on ne s’est point étendu sur les pièces de théâtre de cet illustre comique, on y suppléera par le tableau suivant, où l’on verra d’un seul coup d’œil, la date de la première représentation de chaque pièce, et le jugement qu’on en doit porter120.

83. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69

L’auteur cite plusieurs exemples de l’urbanité des plus illustres Romains du temps de la république, « même de ce fâcheux et insupportable homme de bien, Caton le censeur.

84. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

Cléon veut dire un homme qui se distingue, qui s’illustre : le héros du Dissipateur s’illustre, se distingue par sa dépense.

85. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

J’ai toujours aimé mademoiselle de Brie, elle a été bonne, fidèle et dévouée à cet illustre génie, dont elle comprenait toute la portée. […] Toutefois, quand Molière fut mort à son poste, quand sa veuve, femme indigne d’un si illustre et si excellent homme, eut brûlé les papiers de son mari, le Théâtre-Français eut enfin cette admirable idée qu’il fallait remettre en lumière, non pas le Don Juan, mais Le Festin de Pierre. […] Ces pages chrétiennes exhalent les angoisses et les douleurs de cette âme en peine, et l’on se sent plus attendri, voyant cette illustre personne hésiter, que si elle se jetait, comme on nous la montre au théâtre, au beau milieu de l’abîme, la tête la première ! […] Bulwer, détournons nos regards de tout ce qui brille, de tout ce qui rit aux yeux, de tout ce qui nous paraît grand et magnifique autour de ce monarque dont on fait un tyran de comédie, autour de cette femme illustre et sainte, devenue un jouet dans la main de M.  […] jamais la réunion des esprits, des beautés et des puissances de la grande cité parisienne n’avait été plus complète, au milieu d’une salle plus éblouissante de pourpre et d’or, non pas même le jour illustre où dans Versailles ressuscité, dans la salle hardiment et royalement réparée, on vit représenter Tartuffe, sous les auspices réunis du roi Louis-Philippe et de mademoiselle Mars.

86. (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419

« On peut assurer que cette pièce est une perpétuelle et divertissante instruction ; qu’il y a des détours, et des délicatesses inimitables ; que les vers en sont fort beaux, au sentiment de tout le monde ; les scènes bien tournées, et bien maniées ; et que l’on ne peut ne la pas trouver bonne, sans faire voir que l’on n’est pas de ce monde, et que l’on ignore la manière de vivre de la Cour, et celle des plus illustres personnages de la ville. […] Pocquelin entra dans une de ces sociétés, qui fut connue sous le nom de l’Illustre Théâtre a. […] Ce prince avait connu Molière au collège, et s’était amusé à Paris des représentations de l’Illustre Théâtre, qu’il avait plusieurs fois mandé chez lui. […] Estimé des hommes les plus illustres de son siècle, il n’était pas moins chéri et caressé des grands ; le maréchal duc de Vivonne vivait avec lui dans cette familiarité qui égale le mérite à la naissance ; le Grand Condé exigeait de Molière de fréquentes visites, et avouait que sa conversation lui apprenait toujours quelque chose de nouveau. […] « Dans le même récit que nous venons de rapporter de la comédie d’Élomire hypocondre, l’auteur n’oublie pas l’histoire de l’Illustre Théâtre ; mais il ne parle qu’en général du début de la troupe sur les fossés de Nesle.

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