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202. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Le reproche seroit fondé si la piece étoit dans le genre du Tartufe, du Misanthrope, des Femmes Savantes, si, sur-tout, les valets ne faisoient que parodier leurs maîtres : mais leur situation est au contraire tout-à-fait opposée ; & c’est de cette variété que naît la plus grande partie du comique.

203. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

Nous avons dit dans le second volume, Chapitre VIII, du genre gracieux, qu’une petite piece de M. 

204. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

C’était l’usage pour tout genre de publications; ainsi, par exemple, le Carnaval, ballet mascarade, représenté en 1675, porte comme date d’impression celle de 1730 ; et à la suite est un prospectus des Ballard, annonçant les opéras de Lully, dont un encore sous presse en 1720, — et Lully était mort en 1687.

205. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

Il est des noms qui servent à intriguer la piece ; nous en parlerons dans le volume où il sera question des genres.

206. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105

  Cette piece ne réussit point ; & on le croira sans peine, pour peu qu’on réfléchisse sur le fond du sujet & la nature des incidents, même sur le genre de l’ouvrage.

207. (1871) Molière

Enfin, quel charmant peintre de genre, Agnès, la jeune et charmante fille, aussi touchante que le jeune Arthur de Shakespeare.

208. (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136

Or, comme cette passion offre autant de variétés que ce qu’il y a de sentiments moraux qui peuvent être exagérés et pervertis, afin d’offrir une description psychologique applicable à tous les genres de fanatismes, Molière a choisi pour son exposition celui du bien et du juste. […] Les sentiments qui l’inspirent parlent en ce moment plus haut dans son esprit que la voix de sa passion, ce qui n’avait pas lieu lorsqu’il désirait perdre son procès pour avoir le droit de haïr davantage le genre humain. […] Les grands génies, en quelque genre que ce soit, sont bien loin d’avoir été les plus heureux en amour.

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