S’il satisfait l’envie qu’il avait de manger du fromage de Parmesan ; c’est qu’il sentait bien que le régime lui était inutile alors, puisqu’il avait dit l’après-dînée à sa femme qu’il finissait.
C’est ceci et puis c’est cela, et toujours c’est à n’en pas finir !
Rambert3, n’est peut-être pas en soi un des défauts les plus graves; mais elle finit, si on ne la combat pas de bonne heure, par s’emparer à fond d’un homme, et par faciliter l’accès de son cœur à une foule de mauvaises pensées.
Dans toute la scène du sonnet Philinte est taquin plus que jamais, taquinant Oronte par l’hyperbolisme ironique de ses éloges, à ce point qu’Oronte finit un peu par s’en apercevoir : Vous me flattez et vous croyez peut-être… Mais pour vous (Alceste)… Parlez-moi, je vous prie, avec sincérité. […] Parce qu’un homme s’avise de nous épouser, il faut d’abord que toutes choses soient finies pour nous et que nous rompions tout commerce avec les vivants ? […] Reste que Julie ne suit pas les opinions religieuses de son mari et qu’au contraire c’est elle qui finit par le convertir aux siennes. […] Par là, par l’intention d’imiter fidèlement la nature, s’expliquent, dans le théâtre de Molière, la subordination des situations aux caractères, la simplicité de ses intrigues, l’insuffisance de ses dénouements qui, justement, parce qu’ils n’en sont point, ressemblent d’autant plus à la vie où rien ne commence et rien ne finit. » Ceci ne prouve point du tout que Molière veut qu’on obéisse, dans la vie, aux suggestions de la nature ; il prouve seulement que, comme auteur, il veut peindre la vie telle qu’elle est, plutôt que suivre son imagination ; ceci n’a absolument aucun rapport avec la question posée. […] Il n’y a que des vices, mouvements naturels, s’il en est, qui finissent par être vaincus par une intervention divine.
Il faut encore remarquer que Térence finit l’acte sans préparer le troisieme, & que Baron corrige ce défaut.
Je sens bien que je finis, mais il y a là cinquante pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour vivre, que feront-ils si je ne joue pas.
Loin de voir dans aucune des principes dangereux, nous trouverions dans deux ou trois des détails très moraux, & dans toutes les autres, un fonds de philosophie qui annonce le Précepteur du genre humain, & un Sage qui, non content de rendre les hommes meilleurs en épurant leurs ames, veut faire leur bonheur en combattant leurs chimeres, tâche de les rendre plus savants dans une infinité d’arts en dévoilant à leurs yeux l’ignorance & le mauvais goût, & finit enfin par les rendre plus agréables dans la société, en combattant leurs travers & leurs ridicules.