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147. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

Un fusil vient à frapper ses yeux, Il le met sur l’épaule, & fait le merveilleux, Enfonce fiérement son chapeau sur la tête, Va de droite & de gauche, avance un pas, arrête, Nous ajuste, fait feu, s’amuse de nos cris, Et vole dans nos bras pour calmer nos esprits.

148. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

A vous entendre, J’ai cru qu’à la maison le feu venoit de prendre.

149. (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331

Lui qui ne sut jamais ni le grec ni l’hébreu , Qui joua jour et nuit, fit grand’chère et bon feu ! 

150. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Il n’a eu besoin ni de galeries de saphirs et de diamants, ni de génies qui règlent les mouvements des astres, ni de triangle de feu; il n’a eu besoin que de Dieu seul.

151. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261

Mariane est un enfant, Julie une mere imbécille qui couronne les feux de Moncade au moment où elle a plus lieu de croire qu’il ne se corrigera jamais.

152. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

Il souffre, mais toujours son art se développe : Inspiré par ses maux, il fait le Misanthrope 17, Il puise un nouveau feu dans ses transports brûlans ; Son amertume éclate en sublimes élans, Sa verve est incisive : il fronde, il rit, il joue, La mort est dans son cœur, le fard est sur sa joue… L’artiste se surpasse et l’homme disparaît.

153. (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347

Tout dévoré de ce feu sacré; il ne cessait de parler, de plaider, d’écrire en faveur de ses amis, Galien, Hippocrate et les autres.

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