Ma illisible close itself seem me damp in speaking of my of the bishop Quentin Durward 5 janvier 1830. » Sur le recto du faux-titre : « 2 RÈGLES HAIIII Des détails l’auteur ne doit pas | malin vaniteux | se prodiguer. […] » [au crayon] 1720 « 2 jours de mauvais goût ou différences de mon goût (qui est mien parce qu’il me semble BON (autrement j’en changerais) avec le goût du public Je dis le meilleur public de 1830 HAINE des détails mise en honneur par M. […] Méon, chargé du travail du catalogue, si ce n’est par l’un des deux auxiliaires déjà familiarisés avec les détails de l’établissement. […] La beauté des détails distrait de la froideur grande. […] C’est dans ces détails qui seraient morts qu’il est permis à l’auteur d’avoir de l’esprit, aux dépens de la vraisemblance.
les gens d’esprit subtilisent sur la piece, jugent ses vers & ses détails : les bonnes gens, qui ne connoissent que Plaute, Térence & Moliere, secouent la tête, ne disent mot, & attendent une révolution heureuse dans la littérature.
Les autres, accoutumés à ne voir que des détails, ne savent pas juger l’ensemble d’un ouvrage.
Ce trait, quoiqu’il ne porte que sur un détail minime, montre bien la différence entre cette fausse rhétorique, qui juge d’après des règles, et la vraie rhétorique, qui, ne faisant de l’éloquence que la peinture de la pensée, comme dit Pascal, cherche sa loi dans la pensée même. […] Le roman, genre moyen, qui occupe tout l’espace intermédiaire entre la prose pure et la pure poésie, qui aime les détails précis et prend les choses de moins haut, s’accommoderait sans peine du personnage d’Onuphre; mais il ne saurait accepter celui de Tartuffe. […] Or le caractère du pamphlet se retrouve jusque dans les détails du style. […] Rien, ni dans les détails ni dans l’ensemble, pas une scène, pas un type, pas un mot, ne nous laisse entrevoir autre chose qu’un mélange comique, mais nauséabond, de plate sottise et de basse méchanceté. […] Ce trait n’est pas un détail que l’on puisse aisément détacher de l’ensemble, quoique Molière ait dû le retrancher; il découle du caractère du héros; c’est encore un de ces traits hardis et francs comme Molière les aime.
Remarquez en outre combien l’habile et infâme diplomatie de Tartuffe rappelle, en ses cruels détails, l’habileté impitoyable, le crime absolu, le crime politique ! […] À voir Le Malade imaginaire, en songeant à la catastrophe finale, on est forcé de convenir, en soi-même, qu’en dépit de cette bonne humeur si gaie et si charmante que Molière a jetée, à pleines mains, dans cette comédie en trois actes, il n’y a pas, dans tout le drame moderne (et Dieu sait que nos illustres ne se sont guère tenus dans les limites naturelles), un drame qui soit plus complètement triste, dans le fond et dans les détails. […] Ce n’était pas ainsi que l’entendaient les maîtres de l’art. ; ce n’était pas ainsi que l’entendait Talma : au contraire, celui-là s’occupait de chacun et de tous ; avant que de se hasarder dans le labyrinthe sanglant des passions héroïques, il voulait tout reconnaître, de fond en comble, jusqu’au fidèle Arbate, jusqu’au chef muet de sa garde prétorienne ; pas un détail n’échappait à ce regard tout-puissant, et c’était son habitude, avant que de commencer une tragédie, de s’écrier : — Allons ! […] » Savez-vous rien de plus charmant que ces petits détails de Sganarelle, se forgeant une félicité ? […] En un mot, ce troisième acte est un chef-d’œuvre auquel je ne crois pas que pour la grâce, pour l’esprit, pour l’infinie variété des détails, on puisse jamais rien comparer.
La Princesse d’Elide, Comédie-Ballet, en cinq actes & en vers, comparée pour le fond & les détails avec el Desden con el desden, Dédain pour dédain, comédie espagnole ; Ritrosia per ritrosia, Rebut pour rebut, comédie italienne ; les Amours à la chasse, comédie de Coypel ; l’Heureux stratagême, comédie de Marivaux ; avec quelques vers de Virgile, du Pastor fido, & de la Phedre de Racine.
l’Amour Médecin, comédie-ballet en trois actes, en prose, comparée, pour le fond & les détails, avec il Medico volante, le Médecin volant, du Théâtre Italien ; le Médecin volant, de Boursault ; le Pédant joué, de Cyrano ; le Phormion, de Térence ; la finta Ammalata, la feinte Malade, de Goldoni.