Laisse-moi faire, la machine est trouvée ; je cherche seulement dans ma tête un homme qui nous soit affidé, pour jouer un personnage dont j’ai besoin. […] Cherchons pour exemple deux dernieres scenes d’acte, dont l’une réunisse ces trois belles qualités, & l’autre les trois défauts contraires.
Laujon, y est venu prendre séance le jeudi 7 novembre 1811, et a prononcé le discours qui suit : Messieurs, Cette imposante solennité porte dans mon âme un trouble dont je cherche en vain à me défendre ; glorieux de vos suffrages, étonné de mon bonheur, j’éprouve l’embarras d’un disciple qui s’assied pour la première fois parmi ses maîtres. […] Sous le siècle de Molière, la bourgeoisie cherche à s’élever ; sous le siècle de Voltaire, c’est la noblesse qui aspire à descendre ; l’un a fait de M.
Elles voient une nuance, elles cherchent un titre ; & quand leur imagination a arrangé deux ou trois mauvaises scenes à peine propres à faire un proverbe 39, elles pensent avoir enfanté un chef-d’œuvre.
Ne cherchons tous les jours qu’à nous plaire, Soyons-y l’un et l’autre empressés ; Du plaisir faisons notre affaire ; Des chagrins songeons à nous défaire : Il vient un temps où l’on en prend assez631. […] Rousseau : « Quel est le plus criminel, d’un paysan assez fou pour épouser une demoiselle, ou d’une femme qui cherche à déshonorer son époux ? […] La première représentation est du 7 septembre 4670 : Mlle de la Vallière commençait à être tout à fait délaissée pour Mme de Montespan, qui était accouchée du duc du Maine au mois de mars ; elle allait s’enfuir pour la seconde fois chez les religieuses de Sainte-Marie de Chaillot le 11 février 1671, et Louis XIV allait envoyer Colbert la chercher le jour même.
Je l’avoue, à ma honte peut-être, j’ai cherché pendant long-temps ce que signifioit la tirade que nous venons de citer ; à la fin je pense l’avoir deviné.
Mais ce n’était pas là le compte de Bossuet ; il voulait répondre à Molière, il cherchait une occasion, un prétexte de dire son opinion sur la comédie : il trouve le père Caffaro sous sa main, et il s’en sert. […] Puis, tout d’un coup, Alceste crie à son valet : … Va me chercher sur l’heure Un avocat ! […] C’est là une scène d’un puissant effet. — Va me chercher un avocat ! […] Va me chercher un avocat ! Cette parole jetée à son valet par un homme en fureur, à ce moment de l’histoire de France, est plus dramatique, selon moi, que le coup de canon dans le Vendôme de Voltaire. — Alors arrive l’avocat, on est allé le chercher au hasard, comme on les cherchait tous alors, pour en faire des hommes d’État, des orateurs, des déclamateurs, des furieux, des représentants, des puissances6 !
Mais où Molière aurait-il cherché de pareils points de vue ? […] Les Grecs et les Romains n’étant point emprisonnés pour leur vie dans la sphère d’un seul état de la société, ne cherchaient point à accréditer des préjugés en faveur d’une condition qu’ils pouvaient quitter le lendemain, ni à jeter sur les autres un ridicule qui les exposait à jouer un jour le rôle de ces maris, honteux de leurs anciens traits satiriques contre un joug qu’ils viennent de subir. […] Et comment un homme que la considération attachée aux succès vient de chercher dans le sein de la paresse, ne serait-il pas tenté d’en profiter ?