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20. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203

Palestre vient de faire naufrage ; elle se plaint de la rigueur du destin qui l’a jettée sur une terre inconnue, sans bien, sans ressource ; & de l’injustice des Dieux, qui n’ont aucun égard à l’innocence de son cœur, & l’exposent à toutes sortes de malheurs. […] Voyons avec quelle force, & en même temps avec quelle simplicité, Palestre se plaint. […] Au bas, l’une des sœurs puise à tête courbée, L’autre montre & se plaint que sa cruche est tombée.

21. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64

Après avoir lu, après avoir vu cette pièce, on aime, on plaint, on estime l’honnête homme, un peu exagéré dans la manifestation de son honnêteté, un peu imparfait parce que la perfection n’est point humaine. […] Mais il est certain qu’en riant je l’estime, je le plains, je l’admire, et que je ne comprends pas ceux qui ont accusé Molière d’avoir là bafoué la vertu, à moins qu’ils n’eussent eux-mêmes pour vertus que les ridicules d’Alceste. […] [fin citation] Vous avez bien fait, Molière, de frapper sur cette vertu insociable et orgueilleuse qui ignore les plus grandes de toutes les vertus, la modestie et la charité ; qui ne sait pas aimer et plaindre les vicieux avec autant de douceur qu’elle doit avoir de haine pour le vice ; qui ne veut pas connaître cette forme délicate de la charité parmi les gens de bonne compagnie, la politesse ; et qui, pour un procès perdu et pour une maîtresse infidèle, se sauve en un désert et fuit l’approche des humains 146, oubliant que le devoir de l’homme de bien est de rester parmi les faibles et les méchants, pour les relever, les instruire, se faire estimer d’eux par l’exemple, aimer par la charité.

22. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [50, p. 83-85] »

La femme de Molière alla sur-le-champ à Versailles, se jeter aux pieds du roi, pour se plaindre de l’injure que l’on faisait à la mémoire de son mari, en lui refusant la sépulture.

23. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38

Oui, vous avez bien fait de quitter une place Où l’on vous caressoit pour la seule grimace ; Et mille fois, sachant tout ce qui se passoit, J’ai plaint le faux espoir dont on vous repaissoit. […] Ascagne est enchantée de la promesse de Valere, quand sa joie est troublée par l’arrivée de Lucile, qui, outrée des mauvais procédés d’Eraste, vient s’en plaindre à Ascagne, qu’elle croit toujours son frere, & lui apprend qu’elle veut désormais chérir Valere.

24. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74

Gresset, vient se plaindre de la Critique qui trouve dans son intrigue un double intérêt. […]  L’an que chez toi Sigismond paroîtra11,  Que je te plains, ô troupe d’Italie !

25. (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490

Alceste seul déconcerte cet équilibre par ses emportements ; mais les ripostes qu’il s’attire, il n’a pas le droit de s’en plaindre. […] S’il faut plaindre le grand homme des douloureuses épreuves qu’il venait de traverser, peut-être y a-t-il lieu de ne point les regretter : car, en lui imposant un surcroît d’étude prudente et profonde, elles ne furent pas étrangères à la perfection de son œuvre. […] S’il avait toujours langui dans la misère, son esprit de sordide épargne aurait des circonstances atténuantes, et il serait à plaindre plus qu’à mépriser. […] Or, si elle fut cruelle, nul aujourd’hui ne s’en plaindra, puisqu’elle nous vaut des scènes incomparables. […] Ce n’est pas lui qui condamnerait l’intelligence d’Henriette à une inégalité dont il serait le premier à se plaindre : car elle lui deviendrait humiliante.

26. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184

Léonor se laisse vaincre ; mais c’est seulement pour dire à son amant qu’elle plaint son sort, & pour lui défendre de songer désormais à elle, puisque les liens les plus sacrés l’unissent à un autre. […] Grumelin, propiétaire d’une maison de campagne louée à Dorante, apprend que celui-ci a fait couper le bois qui faisoit son principal ornement ; il vient s’en plaindre. […] plaignez-vous, Monsieur Grumelin : une vue charmante dans la cuisine, dans la cave ! […] Si je ne savois pas comme on doit se contraindre, Je ne pourrois de vous m’empêcher de me plaindre, Monsieur. […] Quel sujet auriez-vous de vous plaindre de moi ?

27. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70

Eléonora, seule sur la scene, se plaint de l’absence de Célio qu’elle aime, prend son portrait, s’attendrit & se trouve mal. […] Sganarelle croit voir en lui l’amant de sa femme, s’emporte contre elle & fort pour se plaindre à l’un de ses parents.

28. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208

Don Juan s’éloigne avec la jeune fille ; Arlequin ajoute, en les voyant partir : “Pauvre malheureuse, que je le plains de croire aux promesses de mon maître ! […] Furieux, le jardinier alla se plaindre au maître, lequel, aimant avec une tendresse aveugle son jeune cochon, dit : “Il faut lui pardonner pour cette fois, il n’a pas encore assez d’expérience ; d’ailleurs, il est si gentil !”

29. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

Songe-t-on à plaindre Amphitryon, dans le long interrogatoire où le malheureux découvre enfin son complet déshonneur592 ? […] La charmante Daphné et la trop aimable Eroxène 626 suivent ces sages maximes, et viennent s’offrir 627 au jeune Myrtil, qui chante à son moineau :          Innocente petite bête,          Qui contre ce qui vous arrête          Vous débattez tant à mes yeux, De votre liberté ne plaignez point la perte :          Votre destin est glorieux ;          Je vous ai pris pour Mélicerte. […] Qu’avec peu de raison on se plaint d’un martyre Que suivent de si doux plaisirs !

30. (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790

Il s’empressa fort à la faire revenir, en la conjurant de considerer que l’amour seul avoit causé son emportement, & qu’elle pouvoit juger du pouvoir qu’elle avoit sur son esprit, puis que malgré tous les sujets qu’il avoit de se plaindre d’elle, il étoit prêt de lui pardonner, pourvu qu’elle eût une conduite plus reservée. […] Mais si vous sçaviez ce que je souffre, vous auriez pitié de moi : ma passion est venuë à un tel point, qu’elle va jusqu’à entrer avec compassion dans ses interéts ; & quand je considere combien il m’est impossible de vaincre ce que je sens pour elle, je me dis en même temps, qu’elle a peut-être la même difficulté à detruire le penchant qu’elle a d’être coquette, & je me trouve plus de disposition à la plaindre qu’à la blâmer. […] Je vous avouë à mon tour, lui dit son ami, que vous êtes plus à plaindre que je ne pensois ; mais il faut tout esperer du tems : continuez cependant à vous faire des efforts.

31. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

Vous êtes fous tous deux de vouloir vous appliquer ces; sortes de choses, et voilà de quoi j’ouïs l’autre jour Molière se plaindre en parlant à des personnes qui le chargeaient de même chose que vous... […] Quand je considère combien il m’est impossible de vaincre ce que je sens pour elle, je me dis en même temps qu’elle a peut-être une même difficulté à détruire le penchant qu’elle a d’être coquette, et je me trouve plus dans la disposition de la plaindre que de la blâmer... […] Génin, voulut une fois épancher noblement la douleur qui navrait son âme : de là vient que le Misanthrope, sans action, est si intéressant; c’est le cœur du poëte qui s’ouvre, c’est dans le cœur de Molière que vous lisez sans vous en douter; tout cet esprit si fin, cette délicatesse élevée, cette jalousie vigilante et confuse d’elle-même; cette fière vertu, rebelle à la passion qui la dompte, c’est Molière, c’est lui qui se plaint, qui se débat, qui s’indigne ; c’est lui que vous aimez, que vous admirez, de qui vous riez d’un rire si plein de bienveillance et de respect46. 

32. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447

Je ne me plains pas de celui-là, car il me fit dormir. […] Oui, pour me faire honneur, je ne plains jamais rien ; Et mon plus grand plaisir est d’exciter l’envie.

33. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276

& depuis que nous sommes ensemble, a-t-il eu sujet de se plaindre de moi ? […] Croyez que je vous plains.

34. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29

. — « Henri IV se plaignait à Sully de Concini et de sa Léonore, qui avaient été jusqu’à jeter dans l’esprit de Marie de Médicis, que le roi voulait se défaire d’elle, et étaient parvenus à lui persuader de ne manger rien de ce qu’il lui envoyait, et de faire cuire souvent sa viande dans leur chambre. » 3. Sully dit un jour au prince de Condé qui se plaignait du roi : « Je vous ai entendu reconnaître plusieurs fois que vous tenez de sa bonté tout ce que vous êtes. » Sully, édition de Petitot, t. 

35. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

Et tu voudrais te plaindre, ô critique ! […] Malheur à qui s’attriste, et mal conseillé qui se plaint de la cruauté des temps. […] Elle aura garde, croyez-moi, de se désoler outre mesure ; au contraire, elle aura pris son parti bien vite, et sans se plaindre (à quoi bon ?) […] — Plaignons son système, dit Philinte ; son système est un mot aussi nouveau dans la comédie, que le mot : ministère. Il est au ministère, plaignons son système, deux mots du temps philosophique.

36. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384

J’ai raison de m’en plaindre, & si je n’étois sage, On verroit arriver un étrange carnage. […] Je plains bien les personnes de l’un & l’autre sexe qui applaudissent à cette scene ; il faut qu’elles n’aient pas eu dans leur vie des tête-à-tête fort piquants, ou qu’il ne leur en reste qu’une bien foible idée.

37. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410

Votre mari se plaint fort de vous, Madame, & le mieux pour vous est de nous dire au vrai ce qui en est. Je ne sais ce que vous voulez dire, répondit la belle avec beaucoup de sang froid, & j’ai de la peine à croire que mon époux se plaigne de moi.

38. (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26

) « Le Barbouillé commence par se plaindre des chagrins que lui donne sa méchante femme. […] Lorsque Moliere sut mort sa femme alla à Versailles se jeter aux pieds du Roi pour se plaindre de l’injure que l’on faisoit à la mémoire de son mari en lui réfusant la sépulture : mais elle fit fort mal sa cour en lui disant au Roi que si son mari étoit criminel, ses crimes avoient été autorisés par sa Majesté même.

39. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297

Elle se faisait ordonner, au nom de la religion, de demeurer à la cour, ou d’annoncer qu’elle avait intention de la quitter, suivant qu’elle avait à se plaindre ou à se louer du roi ou de madame de Montespan. […] Madame de Maintenon, dans son 3e entretien, répondant à une amie qui la plaignait de ne pouvoir consulter personne à la cour dans les occasions délicates, répondit : « J’ai un fort honnête homme, de très bon esprit, qui me décide de gros en gros ce que je puis faire en sûreté de conscience et ce que je dois éviter pour ne point passer les bornes de mon état.

40. (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464

« Je m’y suis résolu d’autant plus volontiers, écrivait-il à Molière, que j’ai vu que cela ne vous pouvait apporter aucun dommage, non plus qu’à votre troupe, puisque votre pièce a été jouée près de cinquante fois. »On ne voit pas que Molière ait trouvé le raisonnement mauvais, et se soit plaint de son officieux éditeur. […] Sa jalousie n’est ni tout à fait terrible, ni tout à fait ridicule ; on ne peut ni plaindre assez les maux qu’il ressent et qu’il cause, ni s’amuser suffisamment des chimères qu’il se forge et de la confusion qu’il éprouve chaque fois qu’il est désabusé. […] Après avoir rapporté ce fait, j’ajoutais : « On ne voit pas que Molière ait trouvé le raisonnement mauvais, et se soit plaint de son officieux éditeur. » J’étais dans l’erreur.

41. (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44

Mais j’entends tous les jours bien des gens de ce temps-là, qui se plaignent que l’Auteur n’ait pas développé tous les mouvements que l’on se donna pour faire supprimer cette Pièce, et pour en faire punir l’Auteur. […] Cependant l’Auteur se plaint que l’on ait fait de mauvaises histoires sur son compte ; et il attaque effrontément sur cela l’Auteur du Dictionnaire Critique, pour donner plus de poids à son ressentiment.

42. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308

Nous n’avons pas à nous plaindre de Clitandre. […] D’un autre côté, on ne peut trop les critiquer, ou du moins les plaindre, quand ils écartent de la scene des choses qui feroient beaucoup plus d’effet que tout ce qu’ils mettent en action.

43. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462

Cassandre console son amie & dit qu’elle est plus à plaindre qu’elle, puisque la mort lui a ravi l’amant qu’elle adoroit, & qu’on veut l’obliger d’épouser un homme qu’elle hait. […] Léonore croit son intrigue découverte : mais son pere ne se plaint que des prodigalités de Don Pedre son fils qui a joué à Cascaye l’argent de sa pension.

44. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190

Monsieur reprit : “Il est vrai ; je ne me plains que de cette maudite Espagnole. — Il n’est pas temps de se plaindre, reprit Madame, il est temps d’agir d’une façon ou de l’autre.

45. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

Que le lecteur lise attentivement la scene que je mets sous ses yeux, qu’il se figure le Marquis à quinze ou à quatre-vingts ans, il le plaindra ; il souffrira de son embarras, & il n’en rira point. […] Avec la qualité d’original dont vous venez de m’honorer tout bas, il ne me manquoit plus que celle de rêveur : au surplus, je ne m’en plains pas. […] Je consens, si l’on veut, que les soubrettes soient autorisées à dire des sottises à leur maîtresse : elles peuvent avoir été dans des confidences qui leur donnent ce droit, & qui ne permettent pas à la maîtresse de se plaindre, quelque grande dame qu’elle soit.

46. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250

Aminta se plaint de ce que Don Juan donne de la jalousie à son mari & rend triste ce qu’elle aime. […] pauvre malheureuse, que je vous plains de vous laisser abuser par mon maître ! […] Don Alvaros se plaint des désordres de son fils : il est interrompu par les mauvaises bouffonneries du valet.

47. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

Mes amis, laissez-les dire et se plaindre, ces braves gens qui se plaignent que la mariée est trop belle, et que le journal est trop bien écrit. […] C’est qu’en effet quelque chose gémit et se plaint au fond de cette gaieté ; c’est qu’une lamentation immense a traversé, sans fin et sans cesse cette raillerie de l’esprit, cet orgueil des sens, cette seigneurie impitoyable et qui va à l’abîme. […] La pauvreté se plaint… « De quoi se plaint-elle ? […] Dans le dernier tableau, les dieux se plaignent d’être négligés par les hommes, depuis que la Fortune s’est répandue çà et là comme l’eau des fontaines : l’encens ne fume plus sur les autels déserts ; on n’y traîne plus les victimes sanglantes. […] Dans une préface nº 4, l’auteur se plaint des comédiens, race inintelligente et mal apprise, qui n’ont pas assez indiqué ses intentions.

48. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Personne ne plaint la destinée de Sganarelle, fort heureux de n’être pas encore mari, car la visite que rend Isabelle au jeune Valère n’aurait plus pour sauvegarde l’innocence. […] Le comédien, ne pouvant se venger avec l’épée, alla se plaindre au roi, qui lui donna la permission d’immoler cette fois ses adversaires avec toute la liberté d’Aristophane. […] Cela s’est vu aussi, cela peut se voir encore, et nul n’a le droit de s’en plaindre ; c’est la loi de l’intelligence qui est faite pour dominer ce monde, et dont Molière, plus que personne, a hâté le progrès. […] Entre nous, Lisette, partout ailleurs qu’en ce pays-ci, je ne risquerais pas une chose comme celle-là : mais à Paris il n’y a rien à craindre ; ce sont des gens glorieux pour la plupart, qui ne se plaignent jamais d’être dupes, pour éviter la honte de l’avoir été. […] Ce sont encore les gens qui ne se plaignent jamais d’être dupes ; il est vrai qu’ils le sont si souvent, qu’on ne s’entendrait plus si tout le monde se plaignait.

49. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVII » pp. 298-304

Personne ne la plaint, quoiqu’elle ait fait du bien à tout le monde.

50. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122

Il faut plaindre Plaute de n’être pas né dans un siecle aussi savant que le nôtre sur l’art dramatique. […] C’est un dépôt qu’Argas, cet ami que je plains, Lui-même, en grand secret, m’a mis entre les mains.

51. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441

Nébi, furieux, se plaint du Marchand : le Médecin qu’il lui a vendu vient d’ordonner l’air natal à son esclave favorite. […] ) Il faut toujours se plaindre.

52. (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366

Tous les autres vices des hommes sont exposés à la censure, et chacun a la liberté de les attaquer hautement ; mais l’hypocrisie est un vice privilégié qui, de sa main, ferme la bouche à tout le monde jouit en repos d’une impunité souveraine. » Il est impossible de s’y tromper : c’est ici l’auteur même du Tartuffe qui se plaint, à la face du public, de ceux qui ont eu le pouvoir d’écarter de la scène cet ouvrage entrepris pour les démasquer. […] Molière fit aussitôt partir pour le camp devant Lille deux de ses camarades, La Grange et La Thorillière, porteurs d’un second placet dans lequel il se plaignait amèrement de ce coup d’autorité qui, en frappant son ouvrage, enfreignait la volonté même du monarque. […] Ménage, qu’on trouve toujours prenant le parti de Molière, quoiqu’il ait eu plus d’une fois à se plaindre de lui, Ménage ne craignit pas de déclarer à M. de Lamoignon que Le Tartuffe était une pièce dont la morale était excellente , et qu’elle ne contenait rien dont le public ne pût faire grandement son profit.

53. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261

Julie paroît, Moncade se plaint à elle de l’infidélité de Mariane : la mere ordonne à sa fille de s’excuser ; elle le fait, en jettant le portrait à Moncade, & sort. […] Charinus se plaint à Pamphile du tort qu’il lui fait en épousant Philumene. […] Baron, peu sensible à ces bruits injurieux, dit froidement dans la Préface de cette derniere piece : « On a dit que je prêtois mon nom à l’Andrienne, & que d’autres que moi l’avoient faite ; j’aurois ici un beau champ pour me plaindre de l’injustice qu’on m’a voulu faire.

54. (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116

Je m’en plaindrai, ajoûta-t-il ; en bonne police on doit reprimer l’insolence de ces gens-là ; ce sont les pestes d’une Ville ; ils observent tout pour le tourner en ridicule. […] Monsieur, si Moliere a eu intention sur vous, en faisant le Cocu imaginaire, de quoi vous plaignez-vous ? […] Ne me plaignez-vous pas, leur disoit-il un jour, d’être d’une profession, & dans une situation, si opposées aux sentimens & à l’humeur que j’ai presentement ? […] J’y trouve à redire, je m’en plains. […] Je vous avouë à mon tour, lui dit son ami, que vous êtes plus à plaindre que je ne pensois ; mais il faut tout esperer du temps, continuez cependant à vous faire des efforts.

55. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222

Celio, qui a tout vu de loin, plaint Arlequin, forme la résolution de prendre son âne & d’aller à la ville ; de cette façon, il ne sera pas connu, il pourra apprendre des nouvelles de Rosaura, & rendre service au malheureux qu’on a pris pour lui.

56. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. De l’Action, du Nœud, des Incidents. » pp. 165-171

Maître Jacques veut lui en donner autant, il en reçoit de nouveau ; il jure de se venger à la premiere occasion ; il croit l’avoir trouvée, quand Harpagon se plaint qu’on l’a volé.

57. (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]

Il s’en plaignit à ceux qui lui avaient conseillé de la faire représenter. […] Il alla s’en plaindre à M. de Louvois, qui lui dit que les Secrétaires du Roi avaient raison. […] « De quoi vous plaignez-vous, répond son ami ? […] Le Barbouillé commence par se plaindre des chagrins que lui donne sa méchante femme. […] Le Prince s’en plaignit.

58. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

Mais, après tout, le plus à plaindre, en cette affaire, est-ce lui ou le petit Eraste qui épouse si lestement la fille d’Oronte ? […] J’y trouve à redire, je m’en plains. […] Nous nous plaignons parfois, et avec raison, de la censure. […] Dans ce même pamphlet, le curé Roulès se plaint de Turenne, « qui n’est point de la religion véritable et catholique ». […] Il faut lire, dans Les Amours de Calotin, la conversation entre le Marquis qui se plaint de Molière —l’ennemi des marquis — et le Baron qui se plaint de Poisson, coupable d’avoir écrit Le Baron de la Crasse.

59. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVIII » pp. 198-205

Cela est sans contredit juste et parfaitement écrit ; mais à la suite, quand Agnès déclare à son tuteur qu’un jeune homme, malgré tous les obstacles, a trouvé le moyen de s’introduire près d’elle et de lui plaire, le tuteur se plaint d’avoir perdu tous les soins qu’il a pris pour lui plaire lui-même ; Agnès lui répond : Vraiment, il en sait donc là-dessus plus que vous, Car à se faire aimer il n’a pas eu de peine.

60. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80

Vous vous plaignez à tort d’un trop pénible emploi.   S’il vous falloit donc, comme moi,   Eclairer la machine ronde,   Rendre la nature féconde,   Mener quatre chevaux quinteux,   Risquer de tomber avec eux   Et de faire un bûcher du monde ;   Dans ce métier pénible & dangereux,   Vous auriez sujet de vous plaindre.

61. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434

Mais mademoiselle Mars n’était pas femme à se plaindre, longtemps ! […] s’il faut plaindre l’une de ces femmes, ne plaignez pas celle qui n’a perdu que le trône de France ; plaignez l’autre, hélas !

62. (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260

La Vieillesse chagrine incessamment amasse, Garde non pas pour soi, les trésors qu’elle entasse ; Marche en tous ses desseins d’un pas lent et glacé, Toujours plaint le présent, et vante le passé, Inhabile aux plaisirs, dont la jeunesse abuse, Blâme en eux les douceurs, que l’Âge lui refuse.

63. (1855) Pourquoi Molière n’a pas joué les avocats pp. 5-15

Ils l’ont saisi d’abord et avant qu’il ait eu le loisir de les trouver mauvais; il les a loués modestement en ma présence, et il ne les a pas loués depuis devant personne : je l’excuse et je n’en demande pas davantage à un auteur; je le plains même d’avoir écouté de belles choses qu’il n’a point faites ‌ 7 . » Et, de vrai, cela se comprend dans une carrière où l’imagination est continuellement surexcitée, où il faut créer sans cesse et avec le plus d’esprit possible, où il est nécessaire de plaire à un public.

64. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380

Desronais vient se plaindre à M.  […] Quatre Seigneurs égarés entrent sur la scene, se plaignent des fatigues de la chasse, trouvent qu’une biche apprivoisée de Londres est plus amusante à poursuivre que les biches sauvages des bois ; songent à se tirer d’embarras comme de bons Courtisans, sans s’embarrasser de ce que deviendra leur Maître ; déclament contre l’obscurité.

65. (1769) Éloge de Molière pp. 1-35

Se plaint-on d’un Médecin qui sépare les maladies compliquées, et les traite l’une après l’autre ? […] La manière dont il excusait les torts de sa femme, se bornant à la plaindre, si elle était entraînée vers la coquetterie par un charme aussi invincible qu’il était lui-même entraîné vers l’amour, décèle à la fois bien de la tendresse, de la force d’esprit, et une grande habitude de réflexion.

66. (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571

Il se plaignit qu’on l’eût rendu pauvre, en le guérissant de sa manie. […] Il hait Harpagon, plaint ses victimes, et éprouve quelque plaisir à voir l’un puni et les autres vengés : voilà tout. […] Strepsiade, le principal personnage de la comédie des Nuées, d’Aristophane, se plaint d’avoir épousé une femme d’une condition supérieure à la sienne.

67. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50

Nous ne déciderons pas entre eux, nous plaindrons seulement celui qui mérite le reproche. […] Non sans doute : aussi le spectateur la plaint-il de la voir aussi malheureuse en amant qu’en mere. […] Bertrand arrive ; Merlin persuade à la bonne vieille, que Géronte est devenu fou, & les deux vieillards se plaignent mutuellement.

68. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. » pp. 489-499

La nuit je n’en dors point ; je n’entends que clameur, Qui d’un trait de pitié s’efforce de m’atteindre : Voyez, ma chere sœur, suis-je pas bien à plaindre ?

69. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47

Enfin, il ne but point et s’en plaignît à la reine.

70. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412

Le 7 juillet, elle lui dit : « Vous ne pouvez assez plaindre ni assez admirer la triste aventure de cette nymphe (Jo) : quand une certaine personne en parle, elle dit ce haillon.

71. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Arnolphe est en humeur de rire ; il plaint l’amoureux qu’il suppose déconfit ; il le plaint, l’hypocrite, et le raille, entre cuir et chair : Un grès ! […] S’il penchait d’un côté dans son interprétation du rôle, c’était plutôt du côté de la charge ; et principalement dans cette scène du cinquième acte, où il se sauvait ainsi d’un double danger : celui de faire plaindre Arnolphe, ce qu’il ne voulait pas ; et celui de le rendre trop odieux, ce qui n’est pas, non plus, de l’essence de la comédie. […] si vous le plaigniez  il vous faudrait accuser : Agnès, cette âme exquise !

72. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

traîtresse, quand il ne croit pas un mot de toutes les protestations d’amour que lui fait Célimène, et que pourtant il est enchanté qu’elle les lui fasse : dans le Tartufe, relisez toute cette admirable scène où deux amants viennent de se raccommoder, et où l’un des deux, après la paix faite et scellée, dit pour première parole : Ah çà, n’ai-je pas lieu de me plaindre de vous? […] C’est une des sources du comique de la pièce, que cette ignorance ingénue d’Agnès, qui fait très naïvement des aveux qui mettent Arnolphe au désespoir sans qu’il puisse même se plaindre d’elle; et quanti elle a tout conte, et qu’il lui dit, eu parlant du jeune Horace : Mais pour guérir du mal qu’il dit qui le possède, N’a-t-il pas exigé de vous d’autre remède? […] Ce n’est pas que la gloire de l’état ne les eût obligés à se plaindre, puisque c’est tourner le royaume en ridicule, railler toute la noblesse, et rendre méprisable, non seulement à tous les Français, mais encore à tous les étrangers, des noms éclatants, pour qui l’on devrait avoir du respect. […] Jourdain pour se plaindre d’un coup de langue quand on lui rappelle qu’il est le fils de son père. […] Le pauvre homme ne met-il pas tout le monde de son parti quand il se plaint si pathétiquement qu’on lui ôte sa servante, parce qu’elle ne parle pas bien français?

73. (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-

Nous supplierons le cadastre de ne pas abattre cette maison de Molière; nous l’attendrirons par de beaux vers, de l’éloquente prose, par des paroles en prose, en vers et en or; et si le cadastre ne nous écoute pas, nous irons nous plaindre au roi, qui essaiera d’apaiser le cadastre, ce monstre composé de papier timbré, de niveaux, de haches et de marteaux.

74. (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13

Melpomène pourtant Pourrait se plaindre… La Vieille Thalie.

75. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Amateur du Théâtre-Français, que je le plains, grands dieux ! […] je ne m’en plains guère à présent, dit avec précipitation Zapata. […] Comme aussi, rien n’est plus vrai, le pauvre capitaine a tout supporté sans trop se plaindre ; son heure n’était pas venue. […] Vous vous plaignez de ses brutalités au dedans, mais cependant vous célébrez son urbanité au dehors ! […] — Qu’il n’y a de moral que le vieux répertoire, et plaignez-vous en vile prose, des hardiesses de M. 

76. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52

Elles les suivent en tâchant en vain de se faire écouter, & cedent la place à Pantalon, qui se plaint de ce que Lucindo n’arrive point, & qu’il differe par-là son bonheur, puisque Béatrix ne le veut absolument épouser qu’après l’arrivée de ce frere. […] Parlez, courage : au moins je vous donne audience ; Vous ne vous plaindrez pas de mon peu de silence : Je ne desserre pas la bouche seulement.

77. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

Tout le spectacle passe sans qu’il y donne aucune attention ; mais il se plaint qu’il est trop court, parcequ’en finissant il le sépare de son adorable bergere ; &, de cette premiere vue, de ce premier moment, il emporte chez lui tout ce qu’un amour de plusieurs années peut avoir de plus violent. […] Fernand plaint le pauvre garçon, & projette de le raccommoder avec son frere.

78. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

Quand la critique conjecturale va jusque-là, elle n’offre plus aucun danger, et l’on aurait tort de s’en plaindre : c’est un passe-temps comme un autre, et qu’on peut ranger parmi les jeux innocens ; mais parmi les lieux communs historiques auxquels la question des influences littéraires a donné lieu, il en est un dont les conséquences n’échappent à personne : c’est l’influence personnelle qu’aurait eue Louis XIV sur la littérature de son temps. […] Les gouvernemens seraient moins généreux qu’il n’y aurait pas encore lieu de s’en plaindre.

79. (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421

Molière fut blessé ; il se plaignit avec indignation. […] Boursault, livré à la risée universelle, n’ayant, pour se consoler, que le suffrage des ennemis de Molière, et de quelques partisans exclusifs des comédiens de l’hôtel, fit imprimer son Portrait du peintre, avec une préface chagrine et amère, où il se plaignait des injures de Molière en l’injuriant, et témoignait surtout un grand dépit de ce qu’on avait voulu lui ravir le mérite et la gloire de son ouvrage, en le faisant passer pour un simple prête-nom. […] Observons, d’ailleurs, que Boursault, dont nous plaignons aujourd’hui la disgrâce, en considération de deux ou trois bons ouvrages, et d’autant d’actions honnêtes qui recommandent également sa mémoire, était encore au dernier rang des écrivains, quand il eut la folle audace d’insulter Molière, et que c’est, si j’ose ainsi m’exprimer, par une espèce d’anachronisme assez fréquent dans l’histoire critique des arts, que nous transportons à l’auteur des Cadenas, et du Mort vivant un intérêt qui n’est dû qu’à celui du Mercure galant et d’Ésope à la Cour.

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