Il a fait à ce sujet l’épigramme suivante : sur l’air de Joconde.
C’est en 1607, deux ans et demi après le départ des Gelosi, que fut jouée la petite pièce dont l’Estoile rend compte dans les termes suivants : « Le vendredi 26 de ce mois (de janvier), fut jouée à l’Hôtel de Bourgogne une plaisante farce, à laquelle assistèrent le roi, la reine et la plupart des princes, seigneurs et dames de la cour.
Suivant cette doctrine, la bienséance ne serait qu’un voile bon à jeter sur le dérèglement des mœurs, ou tout au plus un palliatif de l’incontinence générale.
Il usait aussi fort indiscrètement du mobilier d’un certain mari de Pézenas, et comme, suivant la tradition, il était aidé dans cette besogne par l’épouse du quidam, celui-ci, un beau jour, trouva la chose mauvaise, et força Molière à chercher, par les gouttières et les toits, une voie de salut, dans laquelle il a été suivi, depuis ce temps jusqu’à notre époque, par plus d’un braconnier de l’amour. […] Vous savez que votre laquais Et votre petite suivante Ont fait près de moi tant d’acquêts, Qu’ils mettent de l’argent à rente. […] « Il y a lieu de penser que l’opposition faite, suivant Grimarest, au mariage de Molière put venir de Geneviève. » Il ne faudrait pas, sous prétexte que Molière fut l’amant de Madeleine, dire qu’il ne fut pas l’amant de Geneviève. […] Il se peut donc que Marotte eût servi de fille de chambre à Mlle de Brie ; qu’elle eût représenté en 1658 une femme affligée dans la Psyché de Rouen ; qu’elle eût été, plus tard, sous ses deux noms, Marotte dans Les Précieuses ridicules, Mlle Lestang à la recette, gagiste çà et là, suivant le besoin, en attendant Psyché, où elle fit Aglaure, et La Comtesse d’Escarbagnas, où elle joua la comtesse. […] Aubry ne se décida qu’un peu tard à briguer les suffrages du public ; il avait cinquante-trois sus quand il donna sa première tragédie, Dimitrius, représentée sur le théâtre de la rue Guénégaud, le « vendredi, 10e jour de juin 1689. »Le registre de la Comédie française pour l’année 1689 porte, à cette date, la mention suivante : « Dimitrius, tragédie nouvelle de M.
Parmi les danseuses du divertissement, les mêmes noms se retrouvent, mêlés aux noms des artistes suivant la cour ; ceux-là, danseurs et danseuses par métier, restaient chargés des grands rôles, des railleries, des bruits, des chansons et des belles danses en dehors de la danse noble. […] Ils se battent ; Lauzun est désarmé, il ramasse son épée et il s’en va avec son démenti, en disant : — « Voilà ce qu’on gagne à parler à des gens qui ignorent le ton de la bonne compagnie. » La scène suivante, entre mademoiselle de La Vallière et Bragelone, n’est guère de meilleure compagnie. […] La scène suivante, quand vient Charlotte, est encore d’une grâce achevée ; mais le beau rôle, à qui est-il ? […] À l’acte suivant, nous retombons dans cette fantaisie un peu solennelle qui désormais ne nous quittera plus, en dépit même des efforts du poète pour arriver à la gaieté. […] L’acte suivant, ou, pour mieux dire, la comédie suivante, serait un vrai sermon, si M.
Le grand Rousseau a fait les quatre vers suivants pour mettre au bas de son portrait : Du vrai, du pathétique il a fixé le ton.