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112. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du point où doit commencer l’action d’une fable comique. » pp. 172-177

Il a fait à ce sujet l’épigramme suivante : sur l’air de Joconde.

113. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127

C’est en 1607, deux ans et demi après le départ des Gelosi, que fut jouée la petite pièce dont l’Estoile rend compte dans les termes suivants : « Le vendredi 26 de ce mois (de janvier), fut jouée à l’Hôtel de Bourgogne une plaisante farce, à laquelle assistèrent le roi, la reine et la plupart des princes, seigneurs et dames de la cour.

114. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VIII » pp. 70-76

Suivant cette doctrine, la bienséance ne serait qu’un voile bon à jeter sur le dérèglement des mœurs, ou tout au plus un palliatif de l’incontinence générale.

115. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Il usait aussi fort indiscrètement du mobilier d’un certain mari de Pézenas, et comme, suivant la tradition, il était aidé dans cette besogne par l’épouse du quidam, celui-ci, un beau jour, trouva la chose mauvaise, et força Molière à chercher, par les gouttières et les toits, une voie de salut, dans laquelle il a été suivi, depuis ce temps jusqu’à notre époque, par plus d’un braconnier de l’amour. […] Vous savez que votre laquais Et votre petite suivante Ont fait près de moi tant d’acquêts, Qu’ils mettent de l’argent à rente. […] « Il y a lieu de penser que l’opposition faite, suivant Grimarest, au mariage de Molière put venir de Geneviève. » Il ne faudrait pas, sous prétexte que Molière fut l’amant de Madeleine, dire qu’il ne fut pas l’amant de Geneviève. […] Il se peut donc que Marotte eût servi de fille de chambre à Mlle de Brie ; qu’elle eût représenté en 1658 une femme affligée dans la Psyché de Rouen ; qu’elle eût été, plus tard, sous ses deux noms, Marotte dans Les Précieuses ridicules, Mlle Lestang à la recette, gagiste çà et là, suivant le besoin, en attendant Psyché, où elle fit Aglaure, et La Comtesse d’Escarbagnas, où elle joua la comtesse. […] Aubry ne se décida qu’un peu tard à briguer les suffrages du public ; il avait cinquante-trois sus quand il donna sa première tragédie, Dimitrius, représentée sur le théâtre de la rue Guénégaud, le « vendredi, 10e jour de juin 1689. »Le registre de la Comédie française pour l’année 1689 porte, à cette date, la mention suivante : « Dimitrius, tragédie nouvelle de M. 

116. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

Parmi les danseuses du divertissement, les mêmes noms se retrouvent, mêlés aux noms des artistes suivant la cour ; ceux-là, danseurs et danseuses par métier, restaient chargés des grands rôles, des railleries, des bruits, des chansons et des belles danses en dehors de la danse noble. […] Ils se battent ; Lauzun est désarmé, il ramasse son épée et il s’en va avec son démenti, en disant : — « Voilà ce qu’on gagne à parler à des gens qui ignorent le ton de la bonne compagnie. » La scène suivante, entre mademoiselle de La Vallière et Bragelone, n’est guère de meilleure compagnie. […] La scène suivante, quand vient Charlotte, est encore d’une grâce achevée ; mais le beau rôle, à qui est-il ? […] À l’acte suivant, nous retombons dans cette fantaisie un peu solennelle qui désormais ne nous quittera plus, en dépit même des efforts du poète pour arriver à la gaieté. […] L’acte suivant, ou, pour mieux dire, la comédie suivante, serait un vrai sermon, si M. 

117. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. De l’Action, du Nœud, des Incidents. » pp. 165-171

Le grand Rousseau a fait les quatre vers suivants pour mettre au bas de son portrait : Du vrai, du pathétique il a fixé le ton.

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