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130. (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322

« À quoi songiez-vous, Molière, quand vous fîtes dessein de jouer les tartuffes ?

131. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200

Seigneur, je ne sais pas encore ce que je veux ; donnez-moi le temps d’y songer, je vous prie, & m’épargnez un peu la confusion où je suis.

132. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273

de grace, Messieurs, laissez toutes ces cérémonies, & songez que les choses pressent.

133. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441

Je songe à me connaître, et me cherche en moi-même.

134. (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -

Il passa quatorze années dans la maison2 paternelle, où l’on ne songea qu’à lui donner une éducation conforme à son état. […] Moliere n’opposa pendant long-tems que les représentations toujours suivies de sa piéce, aux critiques que l’on en faisoit, & ne songea à les détruire, du moins en partie, qu’au mois de juin 1663, qu’il donna au public sa comédie intitulée la critique de l’école des femmes.

135. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354

Notre sentiment littéraire s’émancipe tellement, nous songeons si peu à exercer le moindre contrôle sur nos mouvements de sympathie et d’antipathie, que nous en venons quelquefois aux confidences les plus compromettantes. […] Enhardi par son exemple, je lui dis un soir (à quoi songeais-je ce soir-là ?) […] Si l’on avait dit à Fénelon qu’un temps viendrait, où personne ne songerait à trouver ridicule la peinture que fait Aristophane d’un roi de Perse, marchant avec une armée de quarante mille hommes, pour aller sur une montagne d’or satisfaire aux infirmités de la nature365, Fénelon aurait-il cru que la postérité pût jamais avoir si mauvais goût ?

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