comme le rythme en est savant à la fois et familier ! […] On lui préfère Le Misanthrope, Les Femmes savantes et surtout et avant tout cet immortel Tartuffe qui semble être le dernier effort de l’esprit humain. […] C’est une affaire et une grosse affaire de monter Les Femmes savantes, Le Misanthrope, L’Avare et tant d’autres comédies du maître. […] Il faut remplacer, par un art savant de minauderies rances, cet aimable éclat des vingt ans à jamais perdus. […] Tenez, on vient de nous jouer, à l’Odéon, Les Femmes savantes. — Eh bien !
S’ils étaient moins savants et moins raffinés que leurs rivaux, s’ils n’étaient pas aussi riches en inventions galantes ou burlesques, les comédiens français de la rue Mauconseil avaient pourtant leurs verves, comme disait Montaigne, et, dans leurs batelages, perçait parfois un génie comique qui promettait de dépasser la commedia dell’arte elle-même.
Autant Molière s’était moqué des Précieuses, qu’il criblera de nouveaux traits dans Femmes Savantes, autant il se raille de la sottise comme d’un grand mal ; il est loin de condamner les femmes à l’ignorance absolue. […] Il faut placer ici le poème du Val-de-Grâce, ou plutôt la savante épître adressée au célébré peintre Mignard, qui avait fait le portrait du poète ; ils se donnèrent mutuellement l’immortalité; tels étaient les cadeaux qui entretenaient leur amitié. […] Voici maintenant le troisième des grands chefs-d’œuvre en vers, de Molière, les Femmes Savantes. […] Henriette, la charmante amoureuse des Femmes savantes, est bien éloignée de cette ignorance. […] Le public ordinaire ne prend pas garde peut-être à celte pantomime, parce qu’il est toujours absorbé par le plaisant entretien de Trissotin et des femmes savantes, et qu’il ne s’aperçoit guère de la présence d’Henriette, que lorsque sa mère lui dit : Quoi !
Martine (des Femmes savantes) est servante de cuisine. […] Lenoir, et dont le savant M. […] Nous pourrions encore citer les costumes des Fâcheux, des Femmes savantes, des Amants magnifiques, du Sicilien, dans lesquels nous retrouvons encore les couleurs vert et aurore. […] Permettez-moi de vous remercier surtout d’avoir contribué par vos savants commentaires à étayer mon système qui, pour être définitivement admis n’a qu’à recevoir quelques adhésions comme la vôtre. […] Je ne puis m’empêcher d’ouvrir ici une parenthèse pour renvoyer le lecteur à la savante brochure de M.
En contrastes fécond, le siècle où tu naquis, S’il eut ses grands héros, eut ses petits marquis, Ses faux savants gonflés de leurs minces mérites, Ses méchants écrivains, ses dévots hypocrites.
Il est des femmes qui ne paroissent belles qu’à la faveur d’une toilette très recherchée, & qu’il faut bien se garder de surprendre avant qu’une Marton savante dans l’art de Latour 4 ait arrangé l’iris 5 de leur teint.