Pour les éviter il fuit dans une autre ville, où il trouve un de ses freres qui vient d’épouser une femme fort riche, & qui le présente à sa moitié.
La maison d’Orgon est une maison riche. […] « L’on fit entrer dans la salle un bon et riche marchand de Paris, nommé M. […] Celui-ci, qui écrit — comme on sait — avant la Révolution un des plus riches propriétaires terriens de Paris, administra sagement, comme une direction bien gouvernée qu’il était.
Je suis émerveillé de cette providence Qui fait naître le riche auprès de l’indigent. […] Or, vous pensez bien depuis très longtemps que le riche honnête homme, sur qui est lancé le faux billet qui doit le dépouiller, est Philinte lui-même ; que pendant le temps que Philinte a disputé avec Alceste et avec Eliante, le faussaire, qui est un ancien intendant de Philinte, a repris la pièce des mains de l’avocat et l’a donnée à un procureur ; que le procureur arrive chez Philinte et lui fait sommation de payer, sur quoi Philinte s’écrie comme Orgon : « Oh ! […] George Dandin, paysan riche, a acheté une demoiselle d’une famille où le ventre anoblit, uniquement pour avoir des enfants gentilshommes et pour être un peu gentilhomme par reflet. […] Ensuite, de plus en plus, il flatte les goûts de la classe moyenne : son mépris pour la lésine, ou plutôt, car elle est avare, le plaisir qu’elle prend à ce qu’on ne la prenne pas pour telle et à ce qu’on offre à ses mépris des avares extravagants ; son aversion, très réelle, pour les bourgeois riches qui veulent se faire gentilshommes (George Dandin, M. […] Il faut recevoir l’impression générale des choses ; il faut noter la place où, tout le roman lu, Julie se met dans notre esprit et, à en juger de la sorte, Julie est beaucoup plus grande, beaucoup plus haute, beaucoup plus riche aussi et consistante que Sophie !
Il a monté dans son appartement : Il y croyoit trouver un riche ameublement...
Soixante mille spectateurs y purent trouver place et même s’asseoir, abrités, comme ceux de Bourges, contre les intempéries ou contre l’ardeur du soleil, par des charpentes et des toiles, « tant bien et excellemment peintes d’or, d’argent, d’azur et autres riches couleurs, qu’impossible est de le savoir réciter. » Vous vous rappelez peut-être, Messieurs, ce qui, dans ce théâtre d’autrefois, correspondait à ce que nous appelons aujourd’hui la scène.
Mais cette unité organique, vivante, qui admet dans son sein la diversité et la contradiction, est infiniment trop riche pour pouvoir être rendue par un substantif, même doublé d’une épithète. […] Les médecins, selon le témoignage contemporain d’un de leurs confrères456, n’étaient que de « grands charlatans, véritablement courts de science, mais riches en fourberies chimiques et pharmaceutiques ».