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163. (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35

Et même, à l’instar de toutes les anciennes institutions d’alors, il devient un privilège; car les confrères, malgré tout, restent en possession du droit exclusif de représenter des pièces en public jusqu’en 1629, c’est-à-dire jusqu’à la veille du Cid.

164. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

Nous ne parlons de cette troupe de comédiens espagnols que par la seule raison qu’elle joua quelque temps sur le théâtre de l’Hôtel de Bourgogne ; il y a toute apparence qu’elle ne fut pas goûtée du public, peut-être à cause du peu de personnes qui entendaient la langue espagnole ; quoi qu’il en soit, ces comédiens restèrent en France jusqu’en 1672 avec une pension de la reine, et sans doute à titre de ses comédiens ; un passage d’une lettre en vers de Robinet servira pour appuyer cette conjecture.

165. (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369

« [*]Après la quatrième scène, Sganarelle restait seul, il se plaignait d’une pesanteur de tête insupportable, et se mettait dans un coin du théâtre pour dormir ; pendant son sommeil, il voyait en songe ce qui forme les deux premières entrées du ballet. » Première entrée : La Jalousie, les Chagrins, les Soupçons. […] On peut juger de l’effet que ces premières représentations produisirent par les traits injurieux dont ce passage est rempli. » La brochure de Rochemont ne resta pas sans réplique.

166. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184

Elle entend du bruit, se retire dans sa chambre, & cede la scene à Mogicon, qui, comme domestique de Don Juan, est resté dans la maison.

167. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

La France littéraire eût dû, ce semble, saluer respectueusement une telle date, car plus que jamais il nous faut aujourd’hui honorer, respecter, mettre en lumière les véritables gloires qui nous restent. […] « Y seraient-ils restés jusqu’à présent, disait encore Beffara, sans que personne les fît connaître ?  […] On eût bien étonné ses compagnons en assurant que sa Comédie humaine restera comme la plus puissante des œuvres.

168. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488

Paie la rançon ; &, ce qui restera, emploie-le en œuvres pies.

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