/ 167
148. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

Il est si malheureux qu’il ne peut y réussir, & qu’il est obligé de s’en donner lui-même.

149. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Le coup réussit, mais les bruits continuèrent de plus belle. […] Il faut être à Paris, pour en résoudre ensemble, et, tâchant de faire réussir l’application de vos rôles à leur caractère, remédier à ce démêlé qui vous donne tant de peine. […] Elle y réussit, comme partout ; et, de même que les imitations en italien n’avaient pas tardé à se faire jour auprès du drame espagnol, on voit bientôt des imitations françaises surgir et graviter autour de la pièce italienne. […] Il avait assez de fureur, pour que l’idée lui en vînt, et assez de puissance pour croire qu’il pourrait réussir. […] L’épreuve réussit.

150. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105

  Cette piece ne réussit point ; & on le croira sans peine, pour peu qu’on réfléchisse sur le fond du sujet & la nature des incidents, même sur le genre de l’ouvrage.

151. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250

Son infidelle veut lui prouver qu’elle est innocente ; elle y réussit, en feignant de se tuer.

152. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

et comprenez-vous que ce silence ait réussi tout autant que ce dialogue et que ces chansons ? […] Il n’y a que le comédien médiocre qui soit excellent tous les jours, à toute heure, au moment venu, quand tout est bien mesuré, combiné, appris, ordonné dans sa tête ; il n’y a que celui-là qui retrouve, à l’heure dite, la voix, la pose et le geste qui lui ont réussi une première fois ; une glace ne montrerait pas les objets avec une plus édifiante précision. […] Venu dix-huit ans après Térence, ce digne enfant de Ménandre, Térence, un Athénien sous l’enveloppe romaine, l’ami, le commensal, quelques-uns ajoutent le collaborateur des plus grands seigneurs de la république, Plaute se dit à lui-même qu’il réussirait surtout en s’adressant aux passions populaires, en parlant à son auditoire aviné et sans frein ( potus et exlex ) la langue courante des lieux suspects, des tavernes, des carrefours, des boutiques ; que lui importent les applaudissements délicats de Scipion, de Lælius, de Sulpicius Gallus ? […] Il est hardi, il est infatigable, il est l’enfant gâté de la foule ; s’il ne réussit pas aujourd’hui, tant pis pour le public et tant pis pour messieurs de la Comédie ; ce n’est pas la chute de ce soir, qui l’empêchera de dîner demain. […] Ainsi, au premier acte, Moncade, cet homme qui doit avoir, pour réussir ainsi, même auprès des femmes les plus faciles, tant de bonnes grâces, tant d’esprit et de politesse, n’a encore dit que ces mots-là : « Non !

153. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179

Il réussit dans ses projets.

/ 167