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112. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99

Je vous promets, Monsieur, que vous n’aurez pas lieu de vous plaindre de moi.

113. (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466

Le public n’y pense guère, ou, s’il y pense, ce n’est pas pour se plaindre ni réclamer ; et si, d’aventure, on lui proposait ce supplément de chefs-d’œuvre, il n’en ferait pas plus de cas, sans doute, que de ceux qu’on lui présente déjà.

114. (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376

., et viennent se plaindre l’un de l’autre à Arlequin, qui répond : « Allez, allez ; je le porterai, — je les laverai, — je le viderai. » Bernagasso met en fuite Cintio et ses spadassins.

115. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24

Admirons son ouvrage ; mais plaignons-nous de l’étendue de ses connoissances, qui, en lui faisant embrasser tous les genres de littérature, lui défendoit malheureusement d’entrer dans les détails de chacun en particulier.

116. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468

La Fleche lui fait part des conditions des usuriers, lui lit la liste des meubles qu’il sera obligé de prendre pour parfaire la somme qu’il emprunte, & le plaint de passer par les mains des Juifs, des Arabes.

117. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165

  Quand Armande fait fi du mariage, se plaint de ce qu’il offre de dégoûtant, de la sale vue sur laquelle il traîne la pensée, et qui fait frissonner, quand elle demande à sa sœur comment elle peut résoudre son cœur aux suites de ce mot, c’est la nature, c’est la raison, c’est la morale qui répond par la gracieuse bouche d’Henriette : Les suites de. ce mot, quand je les envisage, Me font voir un mari, des enfants, un ménage ; Et je ne vois rien là, si j’en puis raisonner, Qui blesse la pensée et fasse frissonner506.

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