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220. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338

J’en suis plus près qu’on ne pense.

221. (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284

Je pensais qu’il ne fît que des gants ? […] Molière ne pensait pas que Les Fourberies de Scapin et Le Mariage forcé valussent L’Avare, Le Tartuffe et Le Misanthrope, ou fussent même du même genre.

222. (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322

Avertissement du commentateur [Le Festin de Pierre, version Thomas Corneille] Je ne pense pas qu’on puisse être surpris ni fâché de trouver, à la suite du Festin de Pierre, de Molière, l’imitation en vers qu’en a faite Thomas Corneille.

223. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200

Don Carlos, loin de combattre les sentiments de Diana, lui annonce qu’il pense comme elle ; qu’il ne lui donne des fêtes que pour lui prouver son respect, & non la sincérité d’une passion qu’il n’a jamais sentie, qu’il ne sentira jamais, quand même le Ciel, pour le toucher, formeroit une beauté chez qui toutes les graces des autres seroient réunies.

224. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441

Dans la même année, il écrivait à madame de La Sablière :                  « Les pensers amusants,                  « Les romans et le jeu, « Cent autres passions des sages condamnées « Ont pris comme à l’envi la fleur de mes années. » Il finit par s’exhorter, il est vrai, sans grande espérance de succès, à embrasser un autre genre de vie : « Que me servent ces vers avec soin composés ?

225. (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -

On a pensé jusqu’ici que dans ces sortes de piéces chaque acteur de la troupe de Moliere, en suivant un plan général, tiroit le dialogue de son propre fonds,7 à la maniére des comédiens italiens ; mais, si on en juge par deux piéces du même genre, qui sont parvenuës manuscrites jusqu’à nous,8 elles étoient écrites & dialoguées en entier. […] Le succès des vers libres à rimes croisées, que Moliere a employés dans Amphitrion, a pû faire penser que ce genre de poësie étoit le plus propre à la comédie, parce qu’en s’éloignant du ton soutenu des vers alexandrins, il approche davantage du stile aisé de la conversation ; cependant l’ancien usage a prévalu sur le théatre.

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