Je le prouve en donnant un précis de l’ouvrage.
Moliere fait d’un mauvais original une copie qui est un petit chef-d’œuvre ; & Chappuzeau qui refait son ouvrage d’après cette copie, n’en apperçoit pas les beautés, & ne sait y voir d’autre mérite que celui d’avoir substitué des valets à son Pensionnaire.
Bien des personnes pensent que le sonnet du Courtisan bel esprit est l’ouvrage d’un Auteur contemporain de Moliere.
Comme nous avons beaucoup parlé de cette comédie dans le courant de cet ouvrage, il n’est pas nécessaire d’en faire un extrait bien étendu : il nous suffira d’en dire deux mots pour rappeller seulement le sujet au Lecteur. […] Dieu me damne, Je le trouve assez drôle, & je n’y suis pas âne : Je sais par quelles loix un ouvrage est parfait, Et Corneille me vient lire tout ce qu’il fait.
Elles trouvèrent la belle si occupée de ses ouvrages et des enchantements que l’on fait pour y elle, que pour moi je me représente Didon qui fait bâtir Carthage110. […] Puis-je me dispenser, dans un ouvrage qui a pour objet l’histoire de la société d’élite, de faire remarquer dans ces lettres de madame de Sévigné, des 28 juin et 3 juillet, la conformité des principes d’honnêteté dont elle et ses amies étaient animées, avec tes principes religieux de Bossuet.
En 1662, La Fontaine publie Joconde, ouvrage composé pour l’amusement de la duchesse de Bouillon.