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241. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120

Et quand la maison, par l’erreur ou la faiblesse des chefs, s’en ira comme un navire sans pilote, ce sera elle, s’il le faut, qui prendra en main le gouvernail, et, par l’autorité du dévouement et du bon sens, sauvera la famille, comme fait Martine 379.

242. (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376

Le roi avait été averti de l’insolence du comédien ; et, caché, il le vit insulter la Majesté Royale ; il sortit de sa cachette le sabre à la main, et voulait tuer le traître.

243. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297

Les nourrices ne mettaient la main à rien, de peur d’être fatiguées et que leur lait ne fût moins bon.

244. (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44

L’Auteur aurait pu faire entrer Baron plus noblement sur la Scène, que de le mettre avec les Bateleurs de la Foire ; et je m’étonne que ce grand Homme ait souffert que son ami (car je n’en veux rien rabattre, ils se connaissent de longue main) l’ait fait passer à la postérité par une si vilaine porte.

245. (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32

Le nœud est le centre où aboutissent tous les fils que dirige la main de l’auteur : il représente le moment où l’action est le plus compliquée ; mais, à partir de ce point, tout doit tendre à préparer le dénouement.

246. (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944

On peut trouver que ce n’est guère et que beaucoup manquent à l’appel ; mais sur ces disparus, encore une fois, ne prolongeons pas nos doléances ; rappelons-nous que non-seulement Les Fausses Confidences et Zaïre, mais Don Juan, aussi bien que Bajazet et que Rodogune, nous ont été enlevés : on ne geint pas une heure durant pour un ongle cassé à la main gauche, lorsqu’on est amputé du bras droit.

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