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141. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419

Quelle heureuse rencontre !

142. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80

Heureux, si, en touchant aux beautés délicates de son maître, il n’y eût point imprimé la main de l’écolier ! […] Près du sexe tu vins, tu vis & tu vainquis : Que ton sort est heureux !

143. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

Sur ce pied, on lui passait toutes ses fantaisies, ou le choyait, on ne lui demandait que d’être heureux, et c’est aussi ce qu’il voulait. […] Le temps seul a dissipé cette illusion, et montré clairement que la fable telle que l’a faite La Fontaine est véritablement une des plus heureuses créations de l’esprit humain.

144. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377

il est cent fois plus heureux que moi. . . . . […] Je lui abandonnai donc toutes mes flatteuses espérances sur cette Piece, & il la fit tout seul de la maniere heureuse que je viens de la faire réimprimer.

145. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132

Puisque Palaprat & Brueys, liés d’une étroite amitié, composerent ensemble la plus grande partie de leurs pieces ; puisque leurs ouvrages sont réunis dans le même recueil, nous allons confondre leurs noms dans ce chapitre : nous ne ferons pas des recherches pour découvrir lequel des deux travailloit aux plans ou aux détails, nous dirons seulement qu’ils furent heureux lorsqu’ils résolurent d’imiter deux ouvrages auxquels ils doivent leur gloire la plus solide. […] Voyons si les changements qu’ils ont faits sont tous heureux.

146. (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38

Quel heureux génie que ce Molière! […] C’est un Allemand, « très bien, » et tout heureux d’avoir, reçu le jour dans ces pays éclairés qui prennent nos vieilles dames aux Camélias pour en faire des duchesses (je crois qu’il va remporter la sienne), il me disait hier : « A Paris, vous n’avez plus d’honnêtes femmes !

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