/ 111
58. (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-

Plus connu, pendant sa vie, que Corneille, mieux accueilli que Racine, plus riche que Boileau, plus aimé que La Fontaine, il a continué par sa mort une renommée littéraire dont il n’y a pas d’exemple en Europe.

59. (1739) Vie de Molière

Trois des plus grands auteurs du siècle de Louis XIV, Molière, La Fontaine, et Corneille, ne doivent être lus qu’avec précaution par rapport au langage. […] La vanité, attribut de l’espèce humaine, fait que les princes prennent le titre de rois, que les grands seigneurs veulent être princes ; et, comme dit La Fontaine, Tout petit prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages. […] Molière fut chargé du sujet de la fable le plus ingénieux et le plus galant, et qui était alors en vogue par le roman beaucoup trop allongé, que La Fontaine venait de donner en 1669.

60. (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181

Au rapport de plusieurs écrivains du xviie siècle, le cadre bouffon imaginé par Molière fut rempli en société, chez Mme de la Sablière, dans un dîner où se trouvaient Ninon, Chapelle, Despréaux, La Fontaine et quelques autres convives dignes d’un tel cercle.

61. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118

comme aurait dit La Fontaine.

62. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370

Taine, Essai sur les Fables de la Fontaine.

63. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

Du moment qu’elle fut établie, elle se plut à rassembler chez elle des hommes distingués dans les lettres, du nombre desquels était La Fontaine, que son goût portait vers toutes les femmes agréables, et qui leur savait plaire.

/ 111