On consent à la fin à le prendre pour acteur, s’il a quelque talent.
Ces vers si souvent cités : C’est par là que Molière, illustrant ses écrits, Peut-être de son art eût emporté le prix, Si, moins ami du peuple en ses doctes peintures, Il n’eût point fait souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le fin, Et sans honte à Térence allié Tabarin, auraient quelque fondement si Molière eût mêlé dans ses chefs-d’œuvre le bouffon au comique noble ; mais ne l’ayant point fait, on ne voit pas par quelle sorte de contagion Les Fourberies de Scapin, George Dandin ou La Comtesse d’Escarbagnas pourraient aller corrompre la beauté dans les pièces où elle se trouve sans alliage et enlever ainsi à Molière la palme qu’aucun poète comique n’osera lui disputer.
Une critique fine et mordante distingue cette pièce. […] Il se rompit une veine dans le corps par les efforts qu’il fit en représentant le principal rôle de sa comédie de Timon, et mourut des suites de cet accident vers la fin de février 1685.
Et quand nous nous mettons quelque chose à la tête, Que l’homme le plus fin ne soit pas une bête Toutes ces gardes-là sont visions de fous ; Le plus sûr est, ma foi, de se fier en nous : Qui nous gêne se met en un péril extrême.
Que dirait-on d’un homme qui ne souhaiterait pas la fin d’une guerre ruineuse, sous prétexte que la paix est rarement de longue durée ?
qui est tué à la fin (c’est malheureux, mais que voulez-vous !)