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61. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41

Voir Loret, Lettre du 6 février 1655. — À toutes ces excellentes scènes, il faut joindre les scènes III-X de la Pastorale comique, dont il ne nous reste que quelques paroles chantées, mais qui étaient certainement une satire fort risible du duel.

62. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354

En l’absence du roi, parti pour la guerre de Flandre, le premier président du Parlement, Lamoignon, opposa son veto formel à une nouvelle représentation ; l’archevêque de Paris fit un mandement qui défendait « à toutes personnes de voir représenter, lire ou entendre réciter la comédie de l’Imposteur, soit publiquement, soit en particulier, sous peine d’excommunication » ; et le Tartuffe ne put être mis en liberté qu’en février 1659, à la faveur de l’apaisement des querelles religieuses, et de la réconciliation momentanée des diverses opinions de l’Église de France. […] On lit dans le registre de La Grange, à la date du vendredi, 17 février 1673 : « Après la comédie, sur les dix heures du soir, M.  […] Scherer, Revue des deux mondes, article du 15 février 1861.

63. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265

Rapin du 24 février 1673) ; le P.

64. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

La première représentation est du 7 septembre 4670 : Mlle de la Vallière commençait à être tout à fait délaissée pour Mme de Montespan, qui était accouchée du duc du Maine au mois de mars ; elle allait s’enfuir pour la seconde fois chez les religieuses de Sainte-Marie de Chaillot le 11 février 1671, et Louis XIV allait envoyer Colbert la chercher le jour même.

65. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Comment admettre, par exemple, que Molière se fût dépeint sous les traits d’Arnolphe dans une comédie assurément contemporaine de son mariage (20 février 1662), puisqu’elle fut représentée quelques mois après (26 décembre) ? […] Les scènes de jalousie d’Alceste ont été reprises textuellement par Molière à Don Garcie de Navarre, qu’il avait écrit étant encore garçon, qu’il fit représenter le 4 février 1661, juste une année avant son mariage, et qu’il jouait encore le 4 novembre 1663, moins de trois ans avant le Misanthrope. […] Au commencement de février 1673, quinze jours à peine avant la mort du grand homme, ils représentèrent, sur leur théâtre, un nouvel imbroglio, composé des meilleures scènes de leur ancienne pièce, il Convitato di pietra, et surtout des parties les plus amusantes qu’ils avaient détachées de la comédie de Molière. […] Il y avait donc déjà près d’un mois que durait la vacance du théâtre de Molière, et, puisqu’il ne rouvrit que le 21 février, elle se prolongea plus d’un mois encore126. […] Bazin, le 5 février 1669, qu’il reprit sa liberté, « comme tacitement compris dans la paix de Clément IX. » Il fut joué, il fut imprimé, et les seules personnes qui s’en plaignirent furent les faux dévots, et aussi, qui le croirait ?

66. (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790

Il en donna la quatriéme représentation le 17 de Février 1673, & mourut le même jour (A).

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