Il y avoit à Florence, ville fameuse d’Italie, dans la province de Toscane, deux illustres cavaliers, Anselme & Lothaire, qui vivoient ensemble dans une si grande union & une amitié si parfaite, qu’on ne les appelloit que les deux amis. […] Un jour qu’ils se promenoient ensemble hors de la ville, Anselme, prenant Lothaire par la main, lui parla de cette sorte : Croirois-tu bien, mon cher Lothaire, qu’après les graces que le Ciel m’a faites en me donnant de grands biens & de la naissance, &, ce que j’estime incomparablement plus, Camille & ton amitié, je ne suis pourtant pas content, & que je n’ai guere moins d’inquiétude que si j’étois privé de tous les biens que je possede. . . .
Son propre cœur lui expliquait celui de Phèdre. » Mais ce n’est pas de Phèdre seulement, c’est de l’ensemble de son cœur que la vie intime de Racine sert à nous rendre compte. […] Il pourrait y avoir un préservatif efficace dans l’ensemble de l’œuvre du poète et dans l’autorité de son nom.
Ils ébranlent la grille, en chantant ensemble : Poussons, poussons, poussons fort, Mais poussons d’accord.
Mais lorsque l’amitié les a liés ensemble, J’étois absent.
Quelquefois les trois amis se trouvaient ensemble à l’hôtel de Longueville.
Maître Herman sort ; Antoine raconte son malheur à Madelaine, femme du potier : ils pestent ensemble contre la politique.