Bien des personnes prétendent que Moliere doit aussi le sujet de cette comédie aux Italiens ; &, pour appuyer leur sentiment, elles citent une lettre manuscrite de M. de Tralage, qui se trouve à la Bibliotheque de S. […] Parfait, qui rapportent cette lettre, ajoutent : « Ce discours d’Angelo est si fort éloigné de la vraisemblance, que ce seroit abuser de la patience du Lecteur que d’en donner la réfutation : aussi nous ne l’avons employé que pour prévenir des personnes qui, trouvant ce passage dans le volume que nous venons de citer, pourroient l’altérer dans leur récit, & donner le change à un certain Public, toujours disposé à diminuer la gloire des grands hommes ». […] J’ai remarqué dans le Misanthrope quelques vers de détail pris dans Lucrece ; je les citerai.
On peut encore citer la scene suivante comme un exemple singulier : en voici une partie. […] Je cite les premiers qui me tombent sous la main. […] Citons un exemple plus considérable. […] Nos premiers Poëtes, bien différents des Anglois, cherchoient des difficultés pour se ménager le plaisir de les vaincre, en faisant des vers à rime couronnée : je n’en citerai qu’un exemple pris dans la tragédie du Mauvais Riche.
Il faut en citer une qui surprenne en même temps le public, la plupart des acteurs, & qui fasse un si grand effet sur l’un d’eux, qu’il n’ait pas la force de prononcer une parole. […] Ses défauts m’ont déterminé à la citer, pour qu’on puisse la comparer à celle de l’Ecole des Femmes, qui est excellente en tout point. […] Citons-en une qui surprenne en même temps la plupart des acteurs & les spectateurs. […] La scene qu’il cite n’est pas la dixieme du second acte, mais la quatorzieme.
Durant la période de 1660 à 1670, plusieurs des personnes que nous avons citées, d’autres encore, ouvrirent elles-mêmes leur maison. […] Madame de Sévigné en était lame : elle était aussi fréquemment chez le duc de La Rochefoucauld et dans une étroite liaison avec madame de La Fayette, Le comte de Brancas réunissait aussi du monde aimable chez lui, malgré cette infirmité de distractions continuelles dont madame de Sévigné cite des exemples fort divertissants, et dont La Bruyère a rassemblé une étonnante collection sous le nom de Menalgue dans ses Caractères. […] Cependant, on voit par une multitude de lettres adressées par le duc de La Rochefoucauld à madame de Sablé, dans le temps qu’il complétait, corrigeait, soumettait à la critique les Maximes qu’il a publiées en 1665, que madame de Sablé les jugeait, et les modifiait très judicieusement ; on voit de plus qu’elle les soumettait au jugement d’autres femmes célèbres, de ses amies, notamment à la maréchale de Schomberg, Marie d’Hautefort, alors âgée d’environ 49 ans, anciennement l’objet de cette passion religieuse de Louis XIII, qui a été tant célébrée, et à son amie la comtesse de Maure ; qu’elle rédigeait elle-même des maximes, ou, pour parler plus exactement, des observations sur la société et sur le cœur humain, observations dont il paraît que le recueil de La Rochefoucauld renferme quelques-unes ; et enfin que cette dame avait de la fortune, une bonne maison, une excellente table, citée alors pour son élégante propreté ; qu’elle donnait des dîners dans la maison qu’elle occupait à Auteuil ; et que le duc de La Rochefoucauld allait souvent l’y voir. […] Quant à la galanterie, sa première jeunesse se ressentit les distractions de son mari, et l’on cite sa réponse à son oncle qui lui disait : Quoi !
Il faut reconnaître que notre siècle a mieux apprécié Molière ; et on doit citer comme s’étant associés à sa gloire par leurs jugements respectueux et raisonnés, MM. […] Je ne crois pas qu’on puisse citer un devoir grand ou petit, public ou privé, que Molière ait oublié ou ignoré823. […] Il faut citer, pour les gens qui n’auraient pas le courage de parcourir le Théâtre de Boursault, quelques-unes de ces sales plaisanteries : En quel lien couche-t-elle ? […] Ses admirateurs doivent estime et reconnaissance à tous les auteurs que nous citons ici : De Cailhava, De l’Art de la Comédie, 1772 ; Étude sur Molière, 1802. […] Il faut citer encore La Fontaine, qui dès 1661, dit de Molière : « C’est mon homme !
Comme exemple, je citerai deux axiomes de la critique française, que bien certainement aucun esprit assez mal fait, en France, n’a jamais eu, n’aura jamais l’idée de mettre en doute. […] Si vous dites, pour citer une théorie qui jouit aujourd’hui d’une faveur incroyable, non seulement parmi les pauvres sols tout éplorés qu’Alfred de Musset traîne à ses talons, mais auprès des esprits les plus graves de notre époque, si vous dites que le vrai poète doit être une espèce de don Juan fatal, victime prédestinée de cet insatiable besoin d’aimer qu’on appelle le génie, et semblable au pélican qui donne à ses petits son propre cœur en pâture, s’il vous plaît de répéter cette déclamation, nous vous laisserons faire, et, quand vous aurez fini, nous vous rappellerons simplement l’admirable possession de soi d’un Cervantes et surtout d’un Shakespeare, qui dans la force de l’âge et du talent, cesse tout à coup d’écrire et se met à cultiver son jardin, comme Candide, après avoir eu la tête traversée par un effroyable torrent d’idées et d’images, dont quelques flots auraient suffi pour faire perdre l’équilibre à la plus ferme de nos cervelles. […] Pour citer seulement ici deux noms bien originaux, M.