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112. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

quelle heureuse fortune pour l’art que le joug du bon sens, non du bon sens de celui-ci ou de celui-là, mais du bon sens de la foule, qui, comme le veut Molière, se laisse prendre par les entrailles et ne cherche point de raisonnement pour s’empêcher d’avoir du plaisir ! […] Mais de tous les sujets auxquels touche l’asthétique, celui-ci est peut-être le plus compliqué, le plus délicat et celui dont l’étude a encore le plus de progrès à faire. […] Voyez dans les deux auteurs la scène où Jupiter, qui a toujours la figure d’Amphytrion, et sur le compte duquel, par conséquent, elle met les durs reproches que celui-ci lui a faits, entreprend d’apaiser son courroux. […] Dans celui-ci, il reste quelque chose du vieil homme; dans celui-là se prépare le travail de la repentance. […] Il y a dans celui-ci de la et de la poésie.

113. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410

Le plus comique est celui-ci.

114. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99

Gripaut remet les papiers de la prétendue Comtesse au Chevalier, lui demande de l’argent : celui-ci lui dit qu’il n’a pas ordre de lui en donner.

115. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316

Celui-ci donne à Cidalise la lettre qu’on a trouvée chez Carondas, elle est de l’écriture de Valere ; Cidalise la lit : « Je te renvoie, mon cher Frontin, ce recueil d’impertinences que Cidalise appelle son livre : continue de flatter cette folle, à qui ton nom savant en impose.

116. (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466

La qualité de celui-ci passe l’ordinaire.

117. (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-

L’un faisait des vers, l’autre de la prose ; celui-ci une comédie, celui-là une tragédie ; chacun secouait une branche de l’arbre, et personne n’avait aperçu le tronc ; personne n’avait conscience de la sève circulante, de la vie intérieure, de la végétation une et ardente.

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