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95. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370

L’élargissement du goût est facile à comprendre ; à mesure que nos préjugés tombent, beaucoup de nos répugnances doivent céder et disparaître.

96. (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -

De la barbare coutume d’exposer les enfants, de la vente et de la dispersion des captifs, enfin de la piraterie qui infestait toutes les mers et désolait toutes les côtes, il résultait que beaucoup de pères étaient enlevés à leurs enfants, et beaucoup d’enfants à leurs pères. […] Il sollicita, et il obtint de ses parents, non sans beaucoup de peine, qu’ils le fissent étudier. […] Sa première comédie régulière, l’Étourdi, y fut représentée avec beaucoup de succès. […] Sa comédie du Pédant jouéreprésentée en 1654 eut beaucoup de succès. […] Richelieu, qui avait besoin qu’on le fît rire, voulut les voir, s’amusa beaucoup de leurs bouffonneries, et ordonna aux comédiens de l’Hôtel de Bourgogne de se les associer, afin de rendre lents représentations plus gaies.

97.

Elle est « dépensière » ; elle va « vêtue ainsi qu’une princesse » ; nous avons vu qu’elle faisait et recevait beaucoup de visites : elle devait donc être toujours fort propre, comme on disait alors, fort élégante, comme nous dirions aujourd’hui. […] Je ne crois pas que pour un Hollandais quelque peu lettré, qui vient passer quelques semaines à Paris, il y ait beaucoup de plaisirs plus grands que celui de voir jouer du Molière au Théâtre-Français. […] Victor Fournel reporte, avec beaucoup de raison, à l’année 1651. […] Plus tard on en a élagué quelques rôles, on en a fait une farce en deux actes qui, sous le nom de The Romp (La Gamine), eut beaucoup de succès en 1781. […] Depuis quelque temps, Le Moliériste s’occupe beaucoup de Lustucru, ce héros de parade, qui attirait la foule au Marais, tandis que Molière amusait, avec ses Précieuses ridicules, les spectateurs, plus fins et plus lettrés, du théâtre du Petit-Bourbon.

98. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479

(Il s’appuie au dos de la chaise, & il marque beaucoup de douleur.)

99. (1801) Moliérana « Vie de Molière »

Il y avait alors dans ce collège, deux enfants qui eurent depuis beaucoup de réputation dans le monde.

100. (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331

Il est vrai que le talent rare de l’acteur qui la jouait à lui seul presque tout entière a pu contribuer à cette grande vogue; mais on ne peut disconvenir qu’il n’y ait beaucoup de scènes d’une exécution parfaite, plaisamment inventées et remplies de vers heureux. […] Esope à la cour ne fut représenté qu’après la mort de l’auteur; il fut d’abord médiocrement goûté; mais à toutes les reprises il eut beaucoup de succès, et il est resté au théâtre.

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