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92. (1821) Scène ajoutée au Boulevard Bonne-Nouvelle, pour l’anniversaire de la naissance de Molière pp. -

La France, en ses jours les plus beaux, A fait naître mille héros, Et n’a vu naître que Molière.

93. (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605

De Grenoble il vint à Rouen en 1658 : d’où il vint à Paris, où il obtint la protection de Gaston, fils de France, qui le présenta au roi & à la reine mere.

94. (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466

Molière, en effet, n’avait peut-être pas encore peint un travers aussi commun en France, et, pour ainsi dire, aussi national. […] Deux siècles après, la France a, pour ainsi dire, répondu au signal donné par l’Italie. […] C’est sans doute un fait remarquable dans l’histoire des lettres, qu’une pièce de théâtre composée par trois hommes de génie, créateurs en France, l’un de la tragédie, l’autre de la comédie, et l’autre de l’opéra.

95. (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131

N’est-ce pas Sainte-Beuve qui a écrit qu’on se lasse de tout en France, excepté d’entendre parler de Molière ? […] C’était au temps où Mademoiselle, qui se savait la plus riche héritière de l’Europe, aspirait à s’asseoir sur le trône de France et soupirait pour le roi. […] Il obtint bientôt après le droit exclusif d’exploiter ce genre : défense fut faite à tout autre de faire jouer en France des tragédies lyriques. […] L’abbé de Richelieu avait quitté Paris dans les premiers jours de mars, pour aller guerroyer en Hongrie, et, tombé malade à Venise, où il mourut au retour, il ne devait pas revoir la France. […] Loiseleur je demande : L’excommunication collective était-elle admise en France ?

96. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8

Deux littératures modernes, qui, à une certaine époque, avaient devancé la France, donnèrent l’impulsion à notre théâtre.

97. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre premier. » pp. 5-11

Plusieurs au bel esprit de Voiture ; D’autres à la cour de Marie de Médicis et à ses cercles, ou les pointes, les jeux de mots, les concetti, que sa cour apporta d’Italie, acquirent de la vogue ; D’autres à la cour d’Anne d’Autriche, belle-fille de Marie de Médicis, qui introduisit, dit-on, en France, l’esprit des romans espagnols.

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