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22. (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129

Tous les connaisseurs en jugeaient favorablement ; et je rapporterai ici une remarque de M. […] Nous rapportons tout le passage, d’autant qu’il sert à la suite de cet article. […] Nous ne rapportons aucun des passages de ces prologues : il suffit de les indiquer au lecteur. […] Cette double fonction fut cause de plusieurs aventures que nous allons rapporter. […] Un autre trait mérite d’être rapporté.

23. (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44

L’Auteur aurait pu se passer de rapporter cette extravagance ; mais il nous a promis vérité ; il faut lui pardonner cette étourderie. […] Ses actions nuement rapportées, avaient assez de quoi satisfaire ceux qui s’intéressent à le connaître, sans les faire servir de divertissement au Public. […] Et bien, il n’y avait qu’à dire qu’il ne mourut point sur le Théâtre, c’en était assez : on l’aurait cru sans ces particularités ridicules : il faut bien qu’on le croie sur le reste, dont il ne dit pas la moitié de ce qu’il faut dire, par exemple, sur son enterrement dont il aurait eu de quoi faire un volume aussi gros que son Livre, et qui aurait été rempli de faits fort curieux, qu’il sait sans doute ; car pour être mystérieux avec esprit, comme l’Auteur, il faut savoir toutes les circonstances des faits que l’on rapporte.

24. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353

Mathieu, qui a poussé la science des nombres jusqu’à savoir combien un écu rapporte par quart d’heure. […] Toutes les fois qu’un Auteur aura le secret d’opposer avec art deux choses contraires, il peut être sûr d’arracher des applaudissements : Le Sage & Dufresny l’ont bien senti, lorsque l’un parle de la conscience d’un Maquignon dans Turcaret, & l’autre de la conscience d’un Tailleur dans une scene déja rapportée. […] Leuson, ayant acheté les meubles de Béverley, les fait rapporter.

25. (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -

Je me contenterai de rapporter un seul exemple de ces étranges libertés, et je le prendrai dans la première comédie de Molière, l’Étourdi. […] On cite de Molière un mot facétieux, qui se rapporte à ce temps où il parcourait le Languedoc. […] Racine rapporte ce mot. […] En voici un cependant qui mérite d’être rapporté. […] Voltaire, dans sa Vie de Molière, rapporte les mêmes choses en beaucoup moins de paroles.

26. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Des Comédies Héroïques. » pp. 9-29

Samson combat, étouffe le lion ; mais il en rapporte humblement la gloire au Ciel. […] Il suffit, pour le prouver, de rapporter un ou deux morceaux de sa piece. […] Rivaux ambitieux, faites-lui votre cour : Qui me rapportera l’anneau que je lui donne, Recevra sur-le-champ ma main & ma couronne.

27. (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464

Ce que Ménage a dit de la pièce, à laquelle il avait assisté, mérite qu’on le rapporte en entier et sans altérer la naïveté du récit original, tel qu’il se trouve dans le Ménagiana. […] Je ne crains pas qu’on me blâme de rapporter ici en entier le jugement que La Fontaine porte sur la pièce et sur son auteur. […] Après avoir rapporté ce fait, j’ajoutais : « On ne voit pas que Molière ait trouvé le raisonnement mauvais, et se soit plaint de son officieux éditeur. » J’étais dans l’erreur. […] Je désire, pour l’honneur des lettres, que ces personnes aient raison, et même je penche à le croire ; mais je n’ai pas cru pouvoir me dispenser de rapporter un fait qui est cité dans vingt ouvrages, n’est démenti dans aucun, et, après tout, n’a rien d’absolument invraisemblable.

28. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [63, p. 100-101] »

On a rapporté de lui ce trait comique : Un jour qu’il était pressé par l’heure du spectacle, il prit une brouette pour se rendre promptement à la comédie ; mais cette voiture n’allait pas assez vite à son gré.

29. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [96, p. 140-141] »

Nous rapportons ici les deux suivantes qui font allusion à l’accident mortel qui lui arriva à la représentation de son Cocu imaginaire 291 :   Ci gît, sans nulle pompe vaine,   Le singe de la vie humaine,   Qui jamais n’aura son égal.

30. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [12, p. 43-44] »

Il envoyait Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de mauvaises nouvelles.

31. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441

On a supposé que ces remarques justes et inoffensives avaient été rapportées à Boileau, et que c’est à madame de La Sablière que s’appliquent ces quatre vers de sa dixième satire, publiée en 1693, dix-neuf ans après l’épître critiquée, peu avant ou peu après la mort de cette femme aimable, qui eut lieu dans la même année. […] Il se borne à rapporter l’opinion reçue : « On dit que Boileau avait en vue madame Deshoulières, une des protectrices de Pradon, et qui fit un sonnet sur la Phèdre de Racine. » On dit, est fort sage, en effet, en 1677, quand Phèdre a paru, madame Deshoulières avait depuis longtemps rompu avec les écrivains qui avaient intéressé sa première jeunesse, tels que les d’Urfé, les La Calprenède, les Scudéry. […] Vigueul-Marville rapporte qu’il disait à ses amis : « Vous voyez la manière dont je parle : sachez que je suis toujours sur mes gardes et que personne n’observe mieux que moi les longues et les brèves. »T. 

32. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102

Ils introduisirent sur la scene les Bergers de Bethléem, & leur firent débiter, devant Jésus, Marie & Joseph, nombre de sottises que nous ne rapporterons point. […] Je ne le rapporterai pas, mais j’essaierai de peindre ce Philosophe singulier par des anecdotes qui, en amusant le lecteur, feront bien mieux connoître le cœur, l’esprit, les sentiments du héros.

33. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [31, p. 59-61] »

On rapporte un fait singulier, qui peut avoir contribué à la disgrâce de la meilleure comédie qui ait jamais été faite.

34. (1717) Molière (Grand Dictionnaire historique, éd. 1717) [graphies originales] « article » p. 530

Je me contenterai de rapporter ici ce que celui qui a fait les Réflexions sur la Poétique, a dit de ce célebre Poète Comique.

35. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90

Des exemples que je viens de rapporter, le premier n’est que déplacé sur le théâtre, le second minutieux, le troisieme trop libre ; mais le quatrieme, que je n’ai fait que citer, est scandaleux : c’est pourtant celui que les Modernes, ont imité le plus souvent. […] Il en est une infinité dont je n’ose pas même rapporter le titre.

36. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102

Par exemple, je me rappelle ces propres paroles de deux demoiselles errantes qui se promenaient sur le boulevard de Gand, à dix heures du soir : — “Tiens, disait l’une, Polyte nous rapportera des fleurs, la Taglioni danse ce soir !” […] « Il y avait, à ce qu’on rapporte, sur cette même scène française, un grand comédien nommé Baron, que Molière avait élevé lui-même.

37. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208

Après ce bizarre prélude, qui se rapporte au sujet comme la tabatière de Sganarelle, comme l’éloge du tabac, figurant au début de la pièce de Molière, arrive Don Juan. […] Le sermon est assez curieux pour être rapporté ici.

38. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393

C’est vraisemblablement ici la place dit souvenir de madame de Caylus qui se rapporte au rapprochement des deux amants, quoiqu’elle ait fixé au jubilé de 1676 la séparation, qui a eu lieu à la semaine sainte de 1675. […] Cette lettre se rapporte à celle du 27 juin 1676.

39. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [80, p. 121-126] »

Nous avons rapporté ces deux morceaux, pour donner une idée du faire de deux grands maîtres.

40. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

« Ce compliment, dont on ne rapporte ici que la substance, fut si agréablement trouvé, et si favorablement reçu, que toute la Cour y applaudit, et encore plus à la petite comédie, qui fut celle du Docteur amoureux a. […] On commença à ne plus estimer que le naturel ; et c’est peut-être l’époque du bon goût en France. » Nous croirions rendre la première partie de cet article incomplète, si nous ne rapportions pas ce qu’en a dit Loret. […] Il y a toute apparence que ces messieurs s’en sont rapportés à Grimarest, auteur d’une Vie de Molière (in-12, 1705), qui est le premier et le seul qui parle des représentations des Précieuses en province, et nous trouvons deux auteurs contemporains* qui disent tout le contraire. […] Nous ne dirons rien de la comédie du sieur Donneau, qui est très faible, mais nous croyons devoir rapporter la préface, qui contient plusieurs faits tant sur les représentations du Cocu imaginaire que sur la comédie des Précieuses ridicules.

41. (1739) Vie de Molière

On tâchera d’éviter cet écueil dans cette courte histoire de la vie de Molière ; on ne dira de sa propre personne, que ce qu’on a cru vrai et digne d’être rapporté ; et on ne hasardera sur ses ouvrages rien qui soit contraire aux sentiments du public éclairé. […] Un autre trait mérite plus d’être rapporté. […] On le rapporta mourant chez lui, rue de Richelieu. […] La difficulté qu’on fit de lui donner la sépulture, et les injustices qu’il avait essuyées pendant sa vie, engagèrent le fameux père Bouhours à composer cette espèce d’épitaphe, qui de toutes celles qu’on fit pour Molière est la seule qui mérite d’être rapportée, et la seule qui ne soit pas dans cette fausse et mauvaise histoire qu’on a mise jusqu’ici au devant de ses ouvrages : Tu réformas et la ville et la cour ; Mais quelle en fut la récompense ? […] Il est rapporté dans Vittorio Siri, qu’on n’avait pas manqué, à la naissance de Louis XIV, de faire tenir un astrologue dans un cabinet voisin de celui où la reine accouchait.

42. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

A ce fait se rattache l’anecdote suivante, rapportée par le duc de Saint-Simon, auteur anonyme de quelques notes sur le manuscrit du Journal du Dangeau : « Chacun reconnut dans Alceste M. de Montausier et prétendit que c’était lui que Molière avait eu en vue. […] Il crie, il est rude, il rompt en visière ; et s’il gronde quelqu’un, il lui remet devant les yeux, toutes les iniquités passées7. » Encore une fois, on a pu rapporter ces traits à Alceste, brusquant, grondant tout le monde, Philinte sur sa politesse empressée, Oronte sur sa manie de poète, les petits marquis sur leur fade galanterie, et Célimène elle-même sur son penchant à la coquetterie et à la médisance. […] Aimé-Martin cite avec complaisance tous les traits du caractère de Saint-Aignan qui se rapportent à celui d’Oronte, mais il ne tient pas assez compte des dissemblances.

43. (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405

Geneviève Béjart, si l’on s’en rapporte à l’acte de mariage du 19 septembre 1672, n’aurait eu que onze ans, et, si l’on s’en rapporte à l’acte d’inhumation de juillet 1675, que douze ans, à cette date de 1643. […] C’est l’abbé Monville, l’exact biographe de Mignard, qui constate cette rencontre, et l’on peut s’en rapporter à son témoignage. […] Puis, quel vaste champ s’était ouvert à son observation, et quel trésor d’impressions et d’images il en devait rapporter ! […] On se souvient peut-être du trait que rapporte Fléchier dans ses Mémoires sur les grands jours d’Auvergne : « M. […] On rapporte de lui des traits d’une magnificence presque royale.

44. (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314

Et l’on rapporte dans deux livres de remarques que Mr de Mauvilain, et lui, étant à Versailles au dîner du Roi, Sa Majesté dit à Molière : « Voilà donc votre Médecin ? […] Tous les connaisseurs en jugeaient favorablement ; et je rapporterai ici une remarque de Mr Ménage, pour justifier ce que j’avance. […] La permission que Molière disait avoir de sa Majesté pour jouer sa pièce n’était point par écrit ; on n’était pas obligé de s’en rapporter à lui. […] Il appréhendait le mauvais compliment du Courtisan prévenu : Il envoyait seulement Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de mauvaises nouvelles. […] J’ai cependant entendu parler à Mr R… fort avantageusement de Molière ; et c’est de lui que je tiens une bonne partie des choses que j’ai rapportées.

45. (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320

On rapporte ce petit trait de plaisanterie de la part de Moliere, comme une chose rare à un homme aussi grave que lui dans la conversation. […] On composa plusieurs Eloges funebres & des Epitaphes à la memoire de Moliere ; j’en rapporterai ici deux ou trois, dont la premiere est de l’Illustre M.

46. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Moliere a fort prudemment abandonné la quatrieme scene du troisieme acte de Plaute, dans laquelle Mercure, nous enlevant encore le plaisir de toute surprise, nous rapporte, dans un très long monologue, ce qu’il va faire, & le comique qui en résultera. […] Je me contenterai de transcrire le dialogue qui a donné lieu à cette opinion, & de rapporter ce que M. […] Toutes les éditions des Œuvres de Moliere marquent la premiere représentation de l’Amphitrion au 13 Juin 1668 : cependant, par le passage d’une lettre que nous rapporterons, on voit que cette comédie fut jouée devant le Roi le 16 Janvier précédent, & tout le monde convient qu’elle avoit été représentée à Paris avant d’être jouée à la Cour.

47. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

  Nous avons cité bon nombre de sujets, de caracteres, de scenes, de détails imités par Moliere ; mais ne nous persuadons pas avoir rapporté toutes ses imitations. Ne nous flattons pas d’avoir entiérement décomposé Moliere imitateur ; premiérement, parcequ’il est impossible qu’aucune des sources dans lesquelles notre Comique a puisé n’ait échappé à nos recherches ; secondement, parceque nous ne saurions rapporter toutes les imitations de Moliere, à moins que de copier ses ouvrages depuis son Etourdi jusqu’au Malade imaginaire, & depuis leurs premiers mots jusqu’aux derniers inclusivement. […] Il est à parier que Moliere, plein de son idée, laissa couler sur son papier les quatre vers que nous avons rapportés, & qui sont ceux de Boileau mis en action & en dialogue.

48. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

Cet inventaire, déjà bien long, des écrivains illustres que l’on rapporte au règne de Louis XIV serait incomplet, si l’on n’y joignait deux noms, moins éclatans sans doute que ceux de Fénelon et de Racine, mais qui appartiennent à la même époque, et qu’il est impossible d’oublier : La Bruyère et Boileau. […] Si l’on voulait juger de l’esprit de l’époque par les pièces contemporaines, celles de Regnard et de Lesage, qui toutes se rapportent à ces lugubres années, on croirait vraiment qu’alors la France était déjà la France de la régence ; valets escrocs, financiers ridicules, coquettes effrontées, gentilshommes aux gages de quelque vieille débauchée, tous ces héros de Lesage et de Regnard ne songent qu’à se bien divertir, sans scrupule et sans fin. […] Lorsque les restes du premier furent rapportés en France sous Louis XIV, un ordre de la cour défendit de prononcer son oraison funèbre.

49. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425

Son Tartufe est une galerie superbe où l’on en voit de toute espece, de sérieux, de plaisants, de touchants ; il n’est besoin ni de les rapporter, ni de les indiquer.

50. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. » pp. 420-425

Mais sans nous amuser à comparer des bagatelles échappées à deux grands hommes, que la distance de leurs genres met hors de toute comparaison, remarquons plutôt que les deux scenes rapportées dans ce chapitre sont les plus charmantes des ouvrages dont elles font partie : preuve incontestable que nous ne devons rien négliger pour recueillir des richesses étrangeres, lorsque nous aurons l’art de les fondre avec adresse dans nos productions.

51. (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-

On aime à répéter l’anecdote de ce pauvre auquel il avait donné un louis par mégarde, et qui le lui rapporta. […] Brécourt avait beaucoup de valeur ; et on en rapporte un trait qui mérite d’être cité ici. […] Si l’on s’en rapporte à l’auteur de la Lettre sur Molière et les comédiens de son temps, de Brie succéda à Duparc dans les rôles de Gros-René. […] Si l’on s’en rapporte à l’extrait baptistaire produit après sa mort par sa famille, Baron naquit à Paris au mois d’octobre en 1653 : en se tenant à cette date, il n’aurait eu que soixante-seize ans et deux mois quand il mourut ; mais on s’accordait généralement à lui donner six ans de plus. […] M. de Tralage, contemporain de mademoiselle de Brie, et qui rapporte cette anecdote, a donc dû se tromper de dix ans et plus sur l’âge que mademoiselle de Brie avait à l’époque de sa retraite.

52. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24

Heureusement pour eux, un jeune homme instruit, & qui ne craint pas de déroger en le paroissant, éleve la voix, expose l’avant-scene, rend compte du but de l’Auteur, rapporte en passant quelques détails saillants, s’étend sur les principaux événements qui conduisent au dénouement, & met ses auditeurs à portée de juger par eux-mêmes du juste mérite de l’ouvrage. […] Les jeunes Auteurs me feroient, sans contredit, honneur s’ils mettoient sur notre scene les histoires ou les sujets des comédies étrangeres que je rapporterai dans le courant de cet ouvrage ; cependant je me crois obligé de les avertir que j’ai tiré parti de ce qui m’a paru plus propre à notre théâtre, peut-être avec moins d’art qu’ils ne le feroient ; mais je pourrois les gagner de vîtesse, & cela seroit désagréable pour eux.

53. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308

Un moment après Robert entre par le vestibule, une lettre à la main, un bougeoir dans l’autre : comme c’est la réponse du Comte de Clarandon qu’il rapporte, il se presse de passer chez Madame Murer pour la lui remettre. […] Elle va chez Madame Murer, & en rapporte une cave à flacons, qu’elle place sur la table du sallon, ainsi que sa lumiere.

54. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

Je n’en sais rien, et je suis obligé de m’en rapporter là-dessus à un poète, peut-être mal renseigné, qui fait ainsi parler l’une d’entre elles, au moment de s’endormir : … Ah ! […] C’est en effet le dépit et la jalousie qui amènent Arsinoé chez Célimène, et, sous couleur de s’intéresser à sa réputation, elle lui rapporte tout ce qu’on dit ou tout ce qu’elle invente elle-même de plus fâcheux sur sa conduite. […] Les plus sages se plient à la destinée, et s’accommodent d’un mari de leur fortune et de leur rang ; mais celles-là mêmes rapportent de la pratique du monde des souvenirs qui les rendent malheureuses et des prétentions qui les rendent ridicules. […] Accoutumez-la à l’application, au travail domestique, aux détails du ménage, afin qu’elle soit en état d’élever des enfants avec autorité et prudence dans la crainte de Dieu. » Ailleurs il développe sa pensée dans un passage que je rapporterai tout entier parce qu’il prête une force singulière aux observations que j’ai présentées plus haut : « Si une fille doit vivre à la campagne, de bonne heure tournez son esprit aux occupations qu’elle y doit avoir, et ne lui laissez point goûter les amusements de la ville… Si elle est d’une condition médiocre de la ville, ne lui faites point voir des gens de la cour : ce commerce ne servirait qu’à lui faire prendre un air ridicule et disproportionné… Formez son esprit pour les choses qu’elle doit faire toute sa vie ; apprenez-lui l’économie d’une maison bourgeoise, les soins qu’il faut avoir pour les revenus de la campagne, pour les rentes et pour les maisons qui sont les revenus de la ville… et enfin le détail des autres occupations d’affaires ou de commerce dans lequel vous prévoyez qu’elle devra entrer, quand elle sera mariée. » Ces occupations, c’est le vrai rôle et la dignité de la femme ; car, selon le même Fénelon « il faut un génie bien plus élevé et plus étendu pour s’instruire de tous les arts qui ont rapport à l’économie… que pour jouer, discourir sur des modes, et s’exercer à de petites gentillesses de conversation. » C’est aussi son vrai bonheur, et je ne vois pas sans regret que beaucoup de femmes soient devenues par leur faute, comme des étrangères dans leur famille, ignorantes des affaires du mari, qu’elles ne connaissent souvent que par leur ruine, une sorte d’objet de luxe qu’il entretient à grands frais, et qu’il montre, mais auquel il ne tient que par vanité.

55. (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466

Il envoyait seulement Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de mauvaises nouvelles. […] Louis XIV, accoutumé par son éducation et par la flatterie universelle à tout rapporter à sa personne, et d’autant plus avide de divertissement qu’il s’était condamné à plus d’ennui par la sévérité de son étiquette, mettait son plaisir au-dessus de beaucoup de choses, accordait de grands privilèges à ceux qui étaient chargés de le récréer, et considérait quelquefois trop peu les intérêts qui se trouvaient en opposition avec ceux de son amusement. […] Je m’attacherai seulement aux paroles qui se rapportent plus directement à la pièce dont je viens de m’occuper moi-même ; et mon zèle prouvé pour la gloire de Molière, ne m’empêchera pas de souscrire à la sentence portée par l’auteur de l’Art poétique.

56.

Que l’anecdote rapportée par le grammairien Domergue soit exacte ou controuvée, que la narquoise épigramme se rencontre ou ne se rencontre pas avant Le Médecin malgré lui, il est certain que la popularité du proverbe, le proverbe lui-même, par conséquent, date pour nous de Molière. […] Je conviens avec vous que cette question est loin d’offrir les mêmes apparences de certitude que l’autre, et si j’y reviens aujourd’hui, ce n’est pas pour la développer à nouveau, mais uniquement pour vous communiquer les documents qui s’y rapportent. […] C’est à ce second passage à Albi qu’il faut rapporter les documents que j’ai signalé dans ma monographie locale. […] ÉRASTE Mais me rapportes-tu quelque nouvelle enfin ? […] Le Menagiana rapporte que « Molière, original français, n’a jamais perdu une représentation de cet original italien » 42.

57. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122

Le Malade imaginaire, le Bourgeois Gentilhomme, ne sont certainement pas les meilleures productions de leur Auteur ; cependant, lorsque les comédiens ont repris ces deux pieces, après les avoir oubliées quelque temps, ne leur ont-elles pas rapporté beaucoup d’argent ? […] Si je voulois, Philocrate, rapporter ici tout le bien que vous m’avez fait, je ne finirois pas avant la nuit.

58. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124

répliqua le Moine tout transporté : ce ne sont point des chimeres, ce sont des vérités qu’on m’a rapportées. […] J’ai rapporté ceux-ci pour faire connoître l’art avec lequel notre comique a su les rendre propres à nos mœurs & à son sujet.

59. (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252

Mais nous ne craignons pas d’affirmer, ce que les faits que nous avons rapportés plus haut ont d’ailleurs démontré, que cette opinion ne repose que sur une erreur en histoire médicale, sur une sorte d’anachronisme. […] celui qu’il appelait son ami, que l’on peut appeler son bienfaiteur, est lâchement et injustement accusé d’un crime horrible, et Racine rapporte cette incrimination sans le moindre sentiment d’indignation contre son auteur ! […] Boileau, qui avait été quelquefois témoin des querelles du premier ménage, les rapporta à son ami, qui en sut faire son profit. […] Pour donner une idée de ces critiques, nous rapporterons ici quelques passages d’un libelle publié en 1665, ayant pour titre : Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre. […] Grimarest rapporte les plaisantes exclamations d’un duc qu’il ne nomme pas, à qui l’on avait probablement persuadé, comme on aurait pu le faire à ce bon M. 

60. (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32

Il faut encore que tous les personnages accessoires servent à développer le caractère principal auquel tout doit se rapporter. […] Par action unique, il faut entendre celle à laquelle tout se rapporte dans la pièce.

61. (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -

Si l’on en considére l’objet, c’est la critique universelle du genre humain ; si l’on examine l’ordonnance, tout se rapporte au misantrope, on ne le perd jamais de vûë, il est le centre d’où part le rayon de lumiére qui se répand sur les autres personnages, & qui les éclaire. […] On rapporte un fait singulier qui peut y avoir contribué. […] Semblable au peintre habile, qui, toujours attentif à remarquer, dans les expressions extérieures des passions, les mouvemens & les attitudes qui les caractérisent, rapporte à son art toutes ses observations ; Moliere, pour nous donner sur la scéne un tableau fidéle de la vie civile, dont le théatre est l’image, étudioit avec soin le geste, le ton, le langage de tous les sentimens dont l’homme est susceptible dans toutes les conditions. […] Celui dont Charpentier, fameux compositeur de musique a été témoin, & qu’il a raconté à des personnes dignes de foi, est peu connu, & mérite d’être rapporté.

62. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127

C’est là du moins ce que rapporte la légende comique.

63. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Des Pieces à spectacle. » pp. 30-36

J’ai entendu dire à l’inimitable Carlin un mot bien précieux, que je rapporterai : c’étoit après la représentation d’une comédie à grand spectacle, dans laquelle il avoit joué le premier rôle.

64. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144

Le capitaine Rhinocéros mourut au mois d’octobre 1624 : « Quand ce capitan trépassa, rapporte son camarade Beltrame, on trouva dans son lit un très rude cilice, ce qui causa quelque surprise, car nous n’ignorions pas qu’il était pieux et buon devoto, mais nous ne savions rien de ce cilice. » Il entrait sans doute, dans cette émulation de piété, un secret besoin de protester contre l’excommunication sévère qui pesait en France sur la profession comique.

65. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108

Mademoiselle rapporte dans ses Mémoires, une lettre du duc d’Orléans son père à mesdames les comtesses maréchales de camp dans l’armée de ma fille contre le Mazarin.

66. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396

  Riccoboni, qui rapporte cette imitation, loue Moliere d’avoir écarté du comique de la liste, l’outré & l’extravagant que l’Auteur Italien y avoit mis. […]   Nous ne rapporterons pas ici les différents traits cités par la Fleche & Strobile, parcequ’ils nous serviront dans la suite à comparer les deux Avares. […] Il a sur son compte cent autres exemples de cette nature-là ; &, si nous avions le temps, je me ferois un plaisir de te les rapporter.

67. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341

Imitons nos prédécesseurs dans les traits qui peignent la candeur de leur ame, & non dans ceux qui l’avilissent à nos yeux, comme ceux que je vais rapporter. […] Pour faire la critique des sujets que je viens de citer, & de tous ceux qui lui ressemblent, il me suffit de rapporter ce que M.

68. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80

Nous ne rapporterons pas tous les petits détails que Regnard a pris de Moliere, & nous finirons par une tirade du Misanthrope, qu’il a transplantée dans le Joueur. […] Il en est ainsi de la scene de Clistorel dans le Légataire, qui est tout-à-fait calquée sur celle de Purgon dans le Malade imaginaire ; elle est trop longue pour être rapportée.

69. (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723

M. de la Mare les rapporte dans son tr. de pol. l. […] On tient néanmoins toûjours pour certain que les comédiens dérogent ; mais il en faut excepter ceux du Roi qui ne dérogent point, comme il résulte d’une déclaration de Louis XIII. du 16 Avril 1641, registrée en parlement le 24 du même mois, & d’un arrêt du conseil du 10 Septembre 1668, rendu en faveur de Floridor comédien du roi, qui étoit gentilhomme ; par lequel il lui fut accordé un an pour rapporter ses titres de noblesse, & cependant défenses furent faites au traitant de l’inquiéter pour la qualité d’écuyer. […] Il y a plusieurs reglemens pour la profession des comédiens & pour les spectacles en général, qui sont rapportés ou cités dans le tr. de la police, tome I. liv. […] Un pauvre lui ayant rapporté une piece d’or qu’il lui avoit donnée par mégarde : « Où la vertu va-t-elle se nicher, s’écria Moliere, tiens, mon ami, je te donne la piece, & j’y joins cette seconde de même valeur ; tu es bien digne de ce petit présent » !

70. (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116

Et l’on rapporte dans deux Livres de Remarques, que M. de Mauvillain & lui étant à Versailles au dîner du Roi, Sa Majesté dit à Moliere : Voilà donc vôtre Medecin : « Que vous fait il ? […] Et bien, puisque vous vous en rapportez à moi, dit Moliere, je vais tâcher de mettre d’accord deux si honnêtes gens. […] Tous les connoisseurs en jugeoient favorablement ; & je rapporterai ici une remarque de M. […] Le Misanthrope prêt de pardonner à Celimene toutes les coquetteries dont elle vient d’être convaincue pourvû qu’elle veuille se retirer avec lui, ressemble assez à Moliere si on juge de lui par la conversation que j’ai rapportée. […] La permission que Moliere disoit avoir de Sa Majesté pour joüer sa Piece n’étoit point par écrit ; on n’étoit pas obligé de s’en rapporter à lui.

71. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157

Nous insistons sur le caractère de ce personnage, parce qu’on en fait généralement un valet intrigant, de la même famille que Scapin, et que nous croyons que Riccoboni s’est trompé et a induit en erreur sur ce point ceux qui s’en sont rapportés à lui.

72. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132

Les Auteurs modernes les ont considérablement embellies : elles sont trop longues pour être rapportées en entier ; mais nous pouvons en citer quelques traits. […] Palaprat dit dans un Avertissement, que le Muet ne rapporta pas beaucoup d’argent à ses Auteurs.

73. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50

Outre les traits que j’ai rapportés, Regnard en a pris encore plusieurs chez la Bruyere, qu’il a mis tant en action qu’en récit ; mais nous eussions été trop minutieux, si nous nous fussions arrêtés sur tous. […] A peine pourrois-je rapporter en un an les prodiges, les monstres qui s’y font voir tous les jours. […] L’aventure que je viens de rapporter est très vraisemblable dans toutes ses circonstances ; il est même à parier que dans les campagnes elle se renouvelle souvent, parcequ’une telle fourberie peut s’exécuter avec beaucoup de facilité : cependant, transportée sur la scene, le principe de l’action manque de vraisemblance, & blesse par conséquent tout-à-fait la nature.

74. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289

Arlichino Medico volante, Arlequin Médecin volant, a pu fournir à Moliere, comme nous l’avons dit, l’idée de son Médecin malgré lui ; mais il doit certainement ses plus grandes beautés à l’un des contes que je viens de rapporter.

75. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296

Que penser de la déclaration de M. de Saint-Foix & des ressemblances qui se trouvent entre l’historiette rapportée & la piece ?

76. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47

On peut aussi en rapporter quelque chose à la vogue que L’Astrée avait donnée aux amours exempts de tout intérêt grossier.

77. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99

Ce fut pendant son séjour à Paris, dans l’hiver de 1641, que le marquis de Montausier fit à Julie cette fameuse galanterie d’une guirlande peinte sur vélin in-folio par Robert et, à la suite de laquelle se trouvent toutes les fleurs dont elle se compose, peintes séparément, chacune sur une feuille particulière, au bas de laquelle est écrit de la main de Jarry, célèbre calligraphe et noteur de la chapelle du roi, un madrigal qui se rapporte à cette fleur.

78. (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]

Le déchaînement était si grand, que Molière n’osait se montrer : il envoyait seulement Baron* à la découverte, qui lui rapportait toujours de mauvaises nouvelles. […] 1801, Moliérana, 25, p. 52-53 Tome I, p. 357-359 L’auteur de Bolaeana dit, au sujet de cette idée plaisante de Bayle, « je rapportai la chose à M. […] Ergaste Comme on m’a tout appris, je vous l’ai rapporté ; Je n’ai rien oublié, je n’ai rien ajouté Que désiriez-vous plus ? […] Tome I, p. 559 On rapporte un fait singulier, qui peut avoir contribué à la disgrâce de la meilleure Comédie [Le Misanthrope] qui ait jamais été faite. […] Il lui en rapporta le sujet, et même quelques endroits particuliers, qui lui avaient paru remarquables ; entre autres, le caractère d’un homme de Cour fainéant, qui s’amuse à cracher dans un puits pour faire des ronds.

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