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134. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Aussi, jamais la dame en question n’était traitée que selon ses mérites. […] Même (on nous garantissait le bon homme mort dans les formes) il arriva que le feuilleton traita assez mal M.  […] Il le ramenait dans les sentiers connus ; il le traitait comme un père traite son enfant ; et par tant de bons soins, par tant de bonnes paroles, et tant d’exemples dont il avait le secret, il faisait que l’ordre et l’espérance rentraient, tout à la fois, dans cette âme et dans cet esprit au désespoir. […] font antichambre, chapeau bas ; et comme il les traite ! […] On ne traiterait pas autrement une mauvaise fille qui aurait volé une paire de gants ou un pot de fard.

135. (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567

Ce sujet conserva si longtemps la vogue, que Rosimont (qu’il ne faut pas confondre avec Dorimon) le traita encore en 1669.

136. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190

Y a-t-il sûreté à traiter avec la cour ?

137. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377

Enfin les présents nous traitent fort bien ; mais il n’en est pas de même des absents.

138. (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571

Voilà ce qui s’appelle traiter un caractère en grand maître, le montrer sous toutes ses faces, le placer à tous les jours, le faire passer par toutes les épreuves. […] Je n’arrive pas, sans quelque crainte, à la déclaration d’un fait qui va trouver d’abord beaucoup d’incrédules, qu’on va traiter peut-être de calomnieux et de blasphématoire.

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