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189. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

Ils chantent le dialogue suivant : Le Professeur.

190. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Le talent de L’auteur comique ou satirique est de démêler dans les mœurs de son temps ce qui aux yeux des hommes de son temps parait naturel par l’habitude qu’ils en ont et qui paraîtra invraisemblable jusqu’à l’extravagance aux générations suivantes. […] Les suivants, depuis. […] Les suivants, depuis : « II nous étale enfin » jusqu’à : «Nous la voyons ici doctement ; revêtue… » sont bien meilleurs. […] Il y a une intelligence qui consiste à penser d’une manière originale et du reste forte, et ceux qui sont doués de cette intelligence-là choquent d’ordinaire le public de leur temps et ont de l’influence sur la génération suivante. […] N’a-t-il pas ceux qui sont toujours mécontents de la Cour, ces suivants inutiles, ces incommodes assidus, ces gens qui pour services ne peuvent compter que des importunités et qui veulent qu’on les récompense d’avoir obsédé le prince dix ans durant ?

191. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218

Malgré ce que je viens de dire, convenons que nombre d’Auteurs auroient peut-être imité plus mal la Nouvelle espagnole, & que la comédie ne mérite pas l’épigramme suivante faite par quelque malin après les trois ou quatre premieres représentations :  On représente maintenant  Le Curieux impertinent.

192. (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67

Je lui en passe une très constante : Je lui avoue de bonne foi que la défense du Misanthrope est peut-être le meilleur Ouvrage de celui qui l’a faite ; mais le bon a ses mesures différentes, suivant les personnes qui en jugent, et selon les rapports que l’on en fait.

193. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Sganarelle en dit autant sous d’autres formes, et Ariste lui-même, le sage vieillard, en suivant une voie opposée, ne met pas en seconde ligne le soin de sa réputation.

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