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178. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184

C’est notre rival, Monsieu le Bailli ; j’en jurerois, moi, en cas de besoin : ça suffira-t-il pour le faire pendre ?

179. (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]

Pour juger du mérite de ses ouvrages, il suffit de les comparer avec tout ce que l’antiquité offre de plus parfait dans ce genre. […] Pour juger du mérite de ses ouvrages, il suffit de les comparer avec tout ce que l’antiquité offre de plus parfait dans ce genre.

180. (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314

Cependant on ignore ce grand Homme ; et les faibles crayons, qu’on nous en a donnés, sont tous manqués ; ou si peu recherchés, qu’ils ne suffisent pas pour le faire connaître tel qu’il était. […] Il suffisait de le connaître légèrement.

181. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488

Du manteau je passerois aux habits ; mais je pense qu’il suffira de dire que chaque piece de son accoûtrement est une antique.

182. (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284

Il y a même des pièces d’une grande réputation dont l’action et le mouvement, quoiqu’elles soient en cinq actes, suffiraient à peine pour soutenir un acte seul : c’est moins une action véritable qu’une apparence d’action ; ou plutôt, c’est un simple assemblage d’autant de scènes qu’il en faut pour donner à une pièce la durée ordinaire des représentations : c’est un remplissage de dialogues semés de bons mots, de traits satiriques, qui séduisent le spectateur par leur brillant et l’empêchent de remarquer le vide et le défaut d’action.

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