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218. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Louis Veuillot s’extasie sur le courage qu’il fallait à Bourdaloue pour tonner, en face même du grand roi, contre l’adultère et la volupté. […] Bourdaloue a foudroyé les amours du grand roi avec Mlle de la Vallière ; M.  […] bien ; ils l’emportèrent quand le roi eut passé la cinquantaine. […] Louis Veuillot feint de ne pas le comprendre : ce n’était pas le but ni le métier de Molière de corriger les mœurs du grand roi, ni de sa cour, ni même du reste des hommes. […] Alceste est la création la plus étonnante de Molière, car il n’existait pas à la cour du grand roi.

219. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52

La bibliotheque du Roi en a été long-temps privée ; mais M.

220. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

Dieux, Rois, qui sous vos pieds regardez tout le monde, Pouvez-vous comparer votre bonheur au mien ?

221. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

de bon cœur, ma foi, Je les sacrifierois toutes deux pour le Roi ».

222. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

Philippe Néricault Destouches, né à Tours en 1680, fut chargé long-temps des affaires du Roi en Angleterre, où il épousa secrètement une Demoiselle Angloise d’une naissance distinguée.

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