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222. (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567

Il est évident que Molière a voulu que sa pièce se terminât ; par le rire.

223. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184

Ne vous boutez pas en peine ; pargué, je nous en allons bien rire. Cette scene étoit très difficile à faire, l’Auteur risquant d’y répandre un vernis de noirceur trop dégoûtant ; cependant on y rit d’un bout à l’autre.

224. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138

Oronte le Poëte qui lui a donné une comédie à examiner ; elle rit beaucoup, parceque le Poëte ne lui a parlé qu’en chantant.

225. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124

Mon frere, son discours ne doit que faire rire : Elle a quelque raison en ce qu’elle veut dire.

226. (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322

Suivant un usage auquel ne dérogent jamais les poètes dramatiques delà les Pyrénées, il y a dans la pièce espagnole un valet bouffon, dont les détestables pointes ne peuvent faire rire qu’un peuple grave, peu connaisseur ou du moins peu difficile en plaisanterie.

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